Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Procès du putsch du CND : "Je n’ai pas d’observation par rapport aux images", a lâché général Gilbert Diendéré
4 avril 2019, 15:09, par
Minute
En suivant le procès, on est obligé de dire que les avocats choisis par les prévenus ou accusés ressemblent bel et bien à leurs clients car ils semblent approuver les faits reprochés aux putschistes. Tenez ! Maitre Régis bonkoungou soutient que la violente était de chaque coté et que les manifestants tenaient des barres de fer et tenaient des propos violents. La questions qu’on doit poser à Me Bonkoungou est de savoir : est-ce que le peuple avait voulu un coup d’état. Un peuple qui vivait dans des difficultés et la psychose du fait de ces même éléments conduits par le même Guiéguéré, qui se voit encore imposé un coup d’état compliquant encore sa situation. Ce peuple en avait marre. Il ne pouvait plus se laisser faire.Il fallait qu’il s’en défende et défendre la démocratie et la liberté. De cette lutte combien légitime, beaucoup sont tombés. D’autres en souffrent toujours avec des séquelles à vie. Non, maître ! Je crois que la défense d’un client se tient en sa partie procédurale et surtout l’encadrement du client à se comporter selon la règle. Lorsque la vérité est palpable, je pense que l’avocat doit éviter de se ridiculiser en s’arcboutant sur ce qui est indéfendable. Au demeurant, il doit pouvoir dire à son client : "Mon type, les faits sont têtus ; demandons seulement pardon et attendre la sentence qui sera prononcée". Je crois que c’est ça la bonne manière.
En suivant le procès, on est obligé de dire que les avocats choisis par les prévenus ou accusés ressemblent bel et bien à leurs clients car ils semblent approuver les faits reprochés aux putschistes. Tenez ! Maitre Régis bonkoungou soutient que la violente était de chaque coté et que les manifestants tenaient des barres de fer et tenaient des propos violents. La questions qu’on doit poser à Me Bonkoungou est de savoir : est-ce que le peuple avait voulu un coup d’état. Un peuple qui vivait dans des difficultés et la psychose du fait de ces même éléments conduits par le même Guiéguéré, qui se voit encore imposé un coup d’état compliquant encore sa situation. Ce peuple en avait marre. Il ne pouvait plus se laisser faire.Il fallait qu’il s’en défende et défendre la démocratie et la liberté. De cette lutte combien légitime, beaucoup sont tombés. D’autres en souffrent toujours avec des séquelles à vie. Non, maître ! Je crois que la défense d’un client se tient en sa partie procédurale et surtout l’encadrement du client à se comporter selon la règle. Lorsque la vérité est palpable, je pense que l’avocat doit éviter de se ridiculiser en s’arcboutant sur ce qui est indéfendable. Au demeurant, il doit pouvoir dire à son client : "Mon type, les faits sont têtus ; demandons seulement pardon et attendre la sentence qui sera prononcée". Je crois que c’est ça la bonne manière.