Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Le courage de S. Traoré de nous livrer une analyse de telle ouverture, nous permets à tout en chacun d’exprimer son opinion constructive ou destructive. Et si on lit les critiques et les autos critiques, ceux qui émettent des critiques tendancieuses sont minoritaires, car ils n’ont pas compris l’idéologie proprement dit de la révolution, ni le combat de Thomas Sankara.
J’avoue que je n’étais pas enclin a contribué à cette analyse par rapport à mes préjugés partisan a 100% aux idées de Thomas Sankara semblables à celles de l’homme de Dieu et de la paix qui était M. Luter King qui a mérité son mémorial, et dont celui de Thomas Sankara est aussi justifié et qui ne regarde que moi.
L’auteur de cette analyse que j’ai connu très jeune dans les rues de Paris, surtout à Fessard le nid politique des étudiants tout confondu du Burkina, et qui ne tourne pas sa langue deux fois avant de cracher sa vérité a la maniéré d’Ablassé Ouédraogo, est digne d’un véritable intellectuel non alimentaire.
Ici Sayouba en soulevant ce problème qui ne semble rien, nous permet aux uns et autres de penser et surtout d’exprimer honnêtement nos idées pour renforcer les aspects positifs qui peuvent nous permettre le vivre sans haine ni s’accusé arbitrairement ceux qui ont essayé de faire avancer le pays que nous aimons tous.
Dire ici que Thomas Sankara a diviser le peuple, est de ne pas pris la peine d’explorer psychologiquement l’idéal du père de la révolution. Avant cette révolution d’espoir, le Burkina était dominé par deux camps, et chaque camp social avait sa politique qui découle de sa situation économique. Le camp des régimes qui depuis notre indépendance au 3 Aout 1983 ont appliqué la politique du camp des explorateurs, comme ça a continué avec celui de Blaise Compaoré. Tant dis que la politique de la révolution inachevée de l’idéologue Thomas Sankara a appliquer la politique des pauvres, les opprimés, les exploités, c’est-à-dire la justice sociale et la conduite des affaires de l’état dans l’intérêt de tous en transformant la société, que l’internaute Kouadio a la cervelle de charbon appelle diviser le peuple : Pourtant c’était de donner le pouvoir au peuple et non le laisser aux mains d’une minorité égoïstes.
Le courage de S. Traoré de nous livrer une analyse de telle ouverture, nous permets à tout en chacun d’exprimer son opinion constructive ou destructive. Et si on lit les critiques et les autos critiques, ceux qui émettent des critiques tendancieuses sont minoritaires, car ils n’ont pas compris l’idéologie proprement dit de la révolution, ni le combat de Thomas Sankara.
J’avoue que je n’étais pas enclin a contribué à cette analyse par rapport à mes préjugés partisan a 100% aux idées de Thomas Sankara semblables à celles de l’homme de Dieu et de la paix qui était M. Luter King qui a mérité son mémorial, et dont celui de Thomas Sankara est aussi justifié et qui ne regarde que moi.
L’auteur de cette analyse que j’ai connu très jeune dans les rues de Paris, surtout à Fessard le nid politique des étudiants tout confondu du Burkina, et qui ne tourne pas sa langue deux fois avant de cracher sa vérité a la maniéré d’Ablassé Ouédraogo, est digne d’un véritable intellectuel non alimentaire.
Ici Sayouba en soulevant ce problème qui ne semble rien, nous permet aux uns et autres de penser et surtout d’exprimer honnêtement nos idées pour renforcer les aspects positifs qui peuvent nous permettre le vivre sans haine ni s’accusé arbitrairement ceux qui ont essayé de faire avancer le pays que nous aimons tous.
Dire ici que Thomas Sankara a diviser le peuple, est de ne pas pris la peine d’explorer psychologiquement l’idéal du père de la révolution. Avant cette révolution d’espoir, le Burkina était dominé par deux camps, et chaque camp social avait sa politique qui découle de sa situation économique. Le camp des régimes qui depuis notre indépendance au 3 Aout 1983 ont appliqué la politique du camp des explorateurs, comme ça a continué avec celui de Blaise Compaoré. Tant dis que la politique de la révolution inachevée de l’idéologue Thomas Sankara a appliquer la politique des pauvres, les opprimés, les exploités, c’est-à-dire la justice sociale et la conduite des affaires de l’état dans l’intérêt de tous en transformant la société, que l’internaute Kouadio a la cervelle de charbon appelle diviser le peuple : Pourtant c’était de donner le pouvoir au peuple et non le laisser aux mains d’une minorité égoïstes.