Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Burkina Faso : Les évêques recommandent un mois de prière pour la paix dans le pays
20 janvier 2019, 19:20, par
Kinkinrga
En bon chrétien, je n’ai point attendu l’appel des évêques pour prier pour la paix. Mais il ne vous a peut-être pas échappé que le pape lui-même a appelé tous les chrétiens à plus d’engagement politique pour une meilleure société. La foi ne doit point être l’aveuglement. Observez le travail des évêques congolais à propos des élections dans leur pays. Ils ne se limitent pas à prier pour la paix.
Ce que je dénonce au Burkina, c’est ce mouta mouta de l’Eglise qui entretient la confusion et ne permet pas aux bons fidèles de situer les responsabilités dans la crise profonde actuelle. Lorsque je lis l’empressement de certains à saluer le message des évêques, je comprends que c’est pas demain l’éveil des consciences à même de réarmer moralement et politiquement la nation. La génération actuelle de nos hommes et femmes politiques (quelques exceptions quand-même) n’augure rien de positif pour le Faso même s’il faut cultiver l’espoir d’un sursaut national.
En bon chrétien, je n’ai point attendu l’appel des évêques pour prier pour la paix. Mais il ne vous a peut-être pas échappé que le pape lui-même a appelé tous les chrétiens à plus d’engagement politique pour une meilleure société. La foi ne doit point être l’aveuglement. Observez le travail des évêques congolais à propos des élections dans leur pays. Ils ne se limitent pas à prier pour la paix.
Ce que je dénonce au Burkina, c’est ce mouta mouta de l’Eglise qui entretient la confusion et ne permet pas aux bons fidèles de situer les responsabilités dans la crise profonde actuelle. Lorsque je lis l’empressement de certains à saluer le message des évêques, je comprends que c’est pas demain l’éveil des consciences à même de réarmer moralement et politiquement la nation. La génération actuelle de nos hommes et femmes politiques (quelques exceptions quand-même) n’augure rien de positif pour le Faso même s’il faut cultiver l’espoir d’un sursaut national.