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Violences à Yirgou : Une marche silencieuse pour dire non à la stigmatisation ethnique

13 janvier 2019, 17:00, par Ka

Les soulèvements populaires dans notre pays, ont toujours été la seule arme puissante pour combattre les décideurs prédateurs : La génération de mon âge est témoin de l’histoire de notre pays avec ses continuités des coutumes suivie de ses groupes autos défenses de chaque ethnie. Les biens connus à travers l’histoire et dans le monde entier, sont les Dozos, et les Kolgwégo de Mané suivis des mossis du centre. Des autos défenses enseignés choisi par ceux qui ont été entraîner de père en fils, allant du grand-père a l’arrière-grand-père pour débusquer les malfrats et voleurs, ou tous les dangers pouvant nuire la société sans les tués, mais les remettre aux autorité compétentes.

Quoi qu’on dit des Kolgwéogo de nos jours, je pense personnellement que ces éléments qui sont des éléments économique sans formations reconnus par notre gouvernement sont là pour mettre le chaos a notre pays. Si la question a été posée au Mooro Naaba et les responsables des Dozos, ces derniers confirmeront de ce que j’avance avec ces Kolgwéogo économiques, ou les futurs terroristes qu’ont voulut instauré comme gardiens de l’islam de notre pays quelques imams radicaux de notre pays et refuser par l’état. Les agissements des Kolgwéogos de nos jours ressembles a ceux des islamistes qui au nom de Dieux tuent sans réfléchir.

Pour un gouvernement qui ne veut comprendre cela, je dis que seuls les imbéciles ne changeront jamais : Car, les dérives tribalisme gagne du terrain avec ces Kolgwéogo économique qui deviennent des terroristes déguisés et obéissent a des politiques régionaux qui veulent les utilisés pour des fins politique de ventre et de l’égoïsme.

Si en 30 ans le Burkina reste embourbée dans son sous-développement, c’est que nous avions vu Blaise Compaoré utilisé les chef coutumiers pour détruire le pays avec sa gouvernance sans partage : Et aujourd’hui un autre régime mouta-mouta se permette de donner un crédit a des kolgwéogo économiques pour diviser le pays. Et moi je dis ‘’Kolgwéogo d’accords !’’ Mais avec les DOZOS d’origine, ou ceux de Mané formés de père en fils, qui débusquent les malfrats ou les voleurs par surprise et les remettent aux autorités compétentes sans les tués.

Si Simon Compaoré et consorts qui sont des décideurs et veulent reconnaître les Kolgwéogo, qu’ils désignent des éléments entraînés de père en fils et honnêtes, et les aider à se mettre en œuvre rapidement avec des projets de surveillance dans nos forêts qui abritent les terroristes, et cela en faveur des Communes et des Régions pour éradiquer le fléau, au lieu de se pavaner dans les villes et les villages en tant que Kolgwéogo économiques en puissance pour tuer qui on veut, là où on veut.

Depuis la nuit des temps, les vraies autos défenses Kolgwéogo ont toujours défendue les intérêts de la population Burkinabé sans des bavures. Aujourd’hui les Kolgwéogo économiques dégradent le nom des vrais Kolgwéogo. Pour Ka, au regard des quatre coins du pays (nord-sud- Ouest- Est),Il existe des vrais kolgwéogo honnêtes bien formés de père en fils, il suffit de les recensé, et les épauler, nous verrons qu’ils relèveront le défis avec nos FDS pour éradiquer le terrorisme déguisés par nos propres frères.


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