Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Assassinat du journaliste Norbert Zongo : 20 ans après, vérité et justice sont toujours attendues
14 décembre 2018, 21:06, par
Ka
Oui TIENFO ! Le dimanche 13 décembre 1998, on découvre sur la route Léo-Sapouy-Ouagadougou un 4x4 immobilisé et brûlé : les corps des quatre passagers gisent calcinés. Parmi eux celui du valeureux journaliste Norbert Zongo. Les premiers témoignages excluent la thèse d’un accident de la route. Il s’agit bien d’un assassinat. Dès le 15 décembre, les élèves, ceux mêmes que tu cites mon ami TIENFO, et les étudiants manifestent par milliers dans les rues, s’en prennent au palais de justice et a plusieurs symbole du CDP au pouvoir. OUI mon ami TIENFO, ce sont la jeunesse de l’époque qui ont compris en un quart de tour la cruauté, le sadisme de la famille Compaoré et son régime sanguinaire.
Auiourdhui, en analysant toutes les critiques fondées des internautes de bonne foi, 99% sont ses jeunes, le 15 décembre qui ont dit non à l’impunité du régime Compaoré, et le lendemain se sont aligné avec le peuple par milliers sur dix kilomètres et accompagner Norbert Zongo a la cimeterre à Ouagadougou. Tu as raison TIENFO, l’âme de Norbert Zongo et celui de David Ouédraogo hanteront François Compaoré jusqu’à la fin de son séjour sur terre. La justice des hommes reste un aperçu, mais comme tu le confirmes, j’ajoutes que les cris des personnes que cette famille à donner la morts sont entendus par Dieu. C’est pourquoi il y a aussi une certitude divine qui dit que l’on récolte toujours sur terre ce que l’on a semé, malgré la miséricorde de Dieu et la foi après le pardon de Dieu. Si tu as semé la mort, tu récolteras la mort. Merci pour ton auto critique pertinente.
Oui TIENFO ! Le dimanche 13 décembre 1998, on découvre sur la route Léo-Sapouy-Ouagadougou un 4x4 immobilisé et brûlé : les corps des quatre passagers gisent calcinés. Parmi eux celui du valeureux journaliste Norbert Zongo. Les premiers témoignages excluent la thèse d’un accident de la route. Il s’agit bien d’un assassinat. Dès le 15 décembre, les élèves, ceux mêmes que tu cites mon ami TIENFO, et les étudiants manifestent par milliers dans les rues, s’en prennent au palais de justice et a plusieurs symbole du CDP au pouvoir. OUI mon ami TIENFO, ce sont la jeunesse de l’époque qui ont compris en un quart de tour la cruauté, le sadisme de la famille Compaoré et son régime sanguinaire.
Auiourdhui, en analysant toutes les critiques fondées des internautes de bonne foi, 99% sont ses jeunes, le 15 décembre qui ont dit non à l’impunité du régime Compaoré, et le lendemain se sont aligné avec le peuple par milliers sur dix kilomètres et accompagner Norbert Zongo a la cimeterre à Ouagadougou. Tu as raison TIENFO, l’âme de Norbert Zongo et celui de David Ouédraogo hanteront François Compaoré jusqu’à la fin de son séjour sur terre. La justice des hommes reste un aperçu, mais comme tu le confirmes, j’ajoutes que les cris des personnes que cette famille à donner la morts sont entendus par Dieu. C’est pourquoi il y a aussi une certitude divine qui dit que l’on récolte toujours sur terre ce que l’on a semé, malgré la miséricorde de Dieu et la foi après le pardon de Dieu. Si tu as semé la mort, tu récolteras la mort. Merci pour ton auto critique pertinente.