Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Intégrisme religieux : Un citoyen appelle le président du Faso à sévir
30 janvier 2017, 23:37, par
Cheikh
Surprenante comme adresse hein ! Si Casimir vit actuellement au Burkina, on ne peut pas dire qu’il en donne l’impression.Car il a tout l’air de quelqu’un qui vient plutôt de se réveiller d’un profond coma ! Si c’est à l’étranger aussi qu’il séjourne, on ne dirait vraiment pas qu’il soit au courant des informations sur le Burkina.Pour la bonne raison que de Janvier 2016 à nos jours, on a vécu tant d’événements plus graves et davantage inquiétants que celui qui le préoccupe, qu’il aurait dû avoir le réflexe d’intervenir depuis longtemps. A moins qu’il ne vive lui même que pour la religion et rien d’autres, sinon cette peccadille qui vient de se produire dans une région qui a pourtant fait l’objet d’autres incursions plus inquiétantes déjà, ne devrait point l’inciter à un écrit d’une telle hauteur. A vrai dire, face à ce flots de soucis qui accablent déjà les Burkinabé, et pour lesquels tous les regards sont tournés vers le Président du Faso, Casimir nous apparaît ici, comme quelqu’un qui se sert d’un marteau-pilon pour tuer une mouche.
Surprenante comme adresse hein ! Si Casimir vit actuellement au Burkina, on ne peut pas dire qu’il en donne l’impression.Car il a tout l’air de quelqu’un qui vient plutôt de se réveiller d’un profond coma ! Si c’est à l’étranger aussi qu’il séjourne, on ne dirait vraiment pas qu’il soit au courant des informations sur le Burkina.Pour la bonne raison que de Janvier 2016 à nos jours, on a vécu tant d’événements plus graves et davantage inquiétants que celui qui le préoccupe, qu’il aurait dû avoir le réflexe d’intervenir depuis longtemps. A moins qu’il ne vive lui même que pour la religion et rien d’autres, sinon cette peccadille qui vient de se produire dans une région qui a pourtant fait l’objet d’autres incursions plus inquiétantes déjà, ne devrait point l’inciter à un écrit d’une telle hauteur. A vrai dire, face à ce flots de soucis qui accablent déjà les Burkinabé, et pour lesquels tous les regards sont tournés vers le Président du Faso, Casimir nous apparaît ici, comme quelqu’un qui se sert d’un marteau-pilon pour tuer une mouche.