Proverbe du Jour : La prudence et l’amour ne sont pas faits l’un pour l’autre : à mesure que l’amour croit, la prudence diminue. François de La Rochefoucauld
« Un travail a déjà été fait et l’adoption de ces textes n’est qu’une question de temps », dixit Justine Yara/ Kanzie, directrice générale de la fonction publique territoriale
14 octobre 2016, 07:46, par
Boureima
Quelle conférence de presse pathétique ! Une dame qui lit une déclaration sous les ordres du ministre d’Etat, ministre de l’Administration territoriale, de la décentralisation et de la sécurité intérieure qui a régné sur la ville de Ouagadougou 17 années durant et qui a toujours utilisé du dilatoire pour maintenir les agents communaux dans un état de servage. Une directrice générale d’une fonction publique territoriale, qui n’existe même pas, et qui ne sait pas si les textes seront adoptés dans un mois, six mois, un an...douze ans. Avec à ses côtés, des agents communaux, à savoir le directeur de cabinet du ministre et le directeur chargé de la coordination des polices municipales, qui rejettent leur appartenance à la famille communale parce qu’ils appartiendraient à un corps spécifique. A qui d’autres les agents des collectivités territoriales du Burkina Faso vont-ils se vouer. Il ne leur reste plus qu’à prendre leur destin en main. car à l’évidence, la clé du dénouement de cette situation est entre leur propres mains. Sous la conduite éclairée de nos structures syndicales, nous vendront à bout de ceux qui veulent que le Burkina Faso bascule dans l’abîme.
Quelle conférence de presse pathétique ! Une dame qui lit une déclaration sous les ordres du ministre d’Etat, ministre de l’Administration territoriale, de la décentralisation et de la sécurité intérieure qui a régné sur la ville de Ouagadougou 17 années durant et qui a toujours utilisé du dilatoire pour maintenir les agents communaux dans un état de servage. Une directrice générale d’une fonction publique territoriale, qui n’existe même pas, et qui ne sait pas si les textes seront adoptés dans un mois, six mois, un an...douze ans. Avec à ses côtés, des agents communaux, à savoir le directeur de cabinet du ministre et le directeur chargé de la coordination des polices municipales, qui rejettent leur appartenance à la famille communale parce qu’ils appartiendraient à un corps spécifique. A qui d’autres les agents des collectivités territoriales du Burkina Faso vont-ils se vouer. Il ne leur reste plus qu’à prendre leur destin en main. car à l’évidence, la clé du dénouement de cette situation est entre leur propres mains. Sous la conduite éclairée de nos structures syndicales, nous vendront à bout de ceux qui veulent que le Burkina Faso bascule dans l’abîme.