Attaques terroristes à Ouagadougou : La liste nominative des victimes et leurs nationalités

Paix au âmes de nos 29 chers frères et sœurs disparus. Prompt rétablissement aux blessés. Une fois de plus, le peuple s’affirme dans sa marche pénible pour la liberté. Peuple samouraï du Burkina Faso, la guerre des armes semble largement dépasser et vous semblez très conscient de cela. Cependant, les avertis hésitent et les incrédules tergiversent. Dans ce tâtonnement, la porte béante du pays s’ouvre aux loups garous de notre époque.

Maintenant, je vous dis ceci, écoutez moi bien, très bien :

« En gros, le terrorisme est conçu et destiné à l’extermination du peuple africain, le reste n’est que diversions. Les messages, les images des soit disant djihadistes qu’on nous montre à la télé sont tous faux. N’oubliez pas qu’un noir ne peut pas faire la différence entre un français ou un américain enturbanné. Etes-vous prêts à faire le pari ? Ok qui de nous peut distinguer un blanc d’un arabe enturbanné. Et puis en suite, les noms Abdul Mustahil, Murad Djamel, Kaled walid…., mon œil, avez-vous vu leurs actes de naissances et vérifier l’authenticité ?
Ouvrez bien vos petites oreilles et vos petits yeux et regardez largement, écouter longuement et vous verrez bien que vous êtes pris au piège à force de refuser de vous battre. Les grands monstres vont vous engloutir en un claquement de leur langue gluante. Ils fonctionnent exactement comme chez nous, mais à la seule différence, c’est quelques individus qui servent de dommages collatéraux pour que le reste de la masse puisse regagner nos terres dégagées pour assurer leur vie pleine sur la planète. Ils n’ont que faire de nous bande d’idiots, hein !
Toujours prêt à jouer les valets locaux, houm ! le monstre a muté et dévore tout sur son passage. Eh ! Valets locaux, vous serez juste servis en bon désert après avoir mangé en déjeuner et en diner le peuple.
C’est beaucoup trop tard pour réagir, je propose qu’on organise une année de deuil et de funérailles des vivants, on boira, on mangera et on s’embrassera puis on attendra le jour funeste pour définitivement dire adieux à nos jolies villas, voitures, femmes, surtout claires (pour les mossis là)…etc…
En attendant, je sirote mon thé au citron sur mon beau fauteuil patron (qui tourne sur lui-même) dans mon joli bureau qui surplombe l’immeuble x de la capitale.
Tant pis si la mort arrivait hier ou demain ou dans ……
Moi j’aurai vécu utile en vous étalant ma version des choses
C’est tout ce que je pouvais faire pour vous
Dites-moi merci quand même !hein ?
Ah ! terrorisme quand tu nous tient. J’ai le cœur très serré et ne sait que faire. Mes larmes coulent en réalité au fonds et même dehors. Tous mes papiers sont complètement mouillés sur mon bureau. Quel sarcasme. Qu’avons-nous fait pour mériter cela »

Oh seigneur, viens maintenant ou jamais