Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Guillaume Soro se veut tout à la fois « Ivoirien nouveau » et « homme intègre ». Mais faut pas rêver ! (1)
28 décembre 2015, 18:24, par
Kanzim
Bel écrit Mr Béjot. Toujours d’une belle plume. Et même si je n’ai pas toujours été d’accord avec vous, cette fois-ci il sied de convenir que Soro, en poupin et très politiquement bambin il a toujours pris ses interlocuteurs comme buvant l’eau par le nez. C’est ce qu’il a voulu faire en tentant de raisonner sur le terrain du diable, la jeunesse burkinabè lorsque Blaise Compaoré s’est senti aux abois avec le départ des Rock, Simon et Salif. La maturité des jeunes burkinabè qui ont lui ont apporté une réplique cinglante ne l’a pourtant pas convaincu qu’il n’était perçu autrement que comme un "bandit" manipulant le colt pour se hisser dans la sphère sociopolitique, avec ADO comme piètre fenêtre ouverte sur l’extérieur. La réaction des internautes m’avait fait dire que Blaise Compaoré devait en tenir compte parce que c’était un vrai indicateur d’un bon début de mobilisation autour de Rock, Salif et Simon, à son détriment. Et ce malgré les "âneries" du prédécesseur de Soro nommé Bamba Alex, hué et débouté par le peuple burkinabè qu’il a dégoûté. Comment est-il possible de donner du crédit à une personne dont les joues poussent proportionnellement aux crimes et assassinats commis dans une rébellion qu’il a utilisée comme urne pour l’avènement de ADO au pouvoir ? Et ce du reste avec la main armée et ensanglantée d’un Blaise Compaoré ?
Bel écrit Mr Béjot. Toujours d’une belle plume. Et même si je n’ai pas toujours été d’accord avec vous, cette fois-ci il sied de convenir que Soro, en poupin et très politiquement bambin il a toujours pris ses interlocuteurs comme buvant l’eau par le nez. C’est ce qu’il a voulu faire en tentant de raisonner sur le terrain du diable, la jeunesse burkinabè lorsque Blaise Compaoré s’est senti aux abois avec le départ des Rock, Simon et Salif. La maturité des jeunes burkinabè qui ont lui ont apporté une réplique cinglante ne l’a pourtant pas convaincu qu’il n’était perçu autrement que comme un "bandit" manipulant le colt pour se hisser dans la sphère sociopolitique, avec ADO comme piètre fenêtre ouverte sur l’extérieur. La réaction des internautes m’avait fait dire que Blaise Compaoré devait en tenir compte parce que c’était un vrai indicateur d’un bon début de mobilisation autour de Rock, Salif et Simon, à son détriment. Et ce malgré les "âneries" du prédécesseur de Soro nommé Bamba Alex, hué et débouté par le peuple burkinabè qu’il a dégoûté. Comment est-il possible de donner du crédit à une personne dont les joues poussent proportionnellement aux crimes et assassinats commis dans une rébellion qu’il a utilisée comme urne pour l’avènement de ADO au pouvoir ? Et ce du reste avec la main armée et ensanglantée d’un Blaise Compaoré ?