Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Saran Sérémé et les élections couplées : Qu’est-ce qui n’a pas marché ?
9 décembre 2015, 17:53, par
Assane
Saran n’a pas démérité. Elle comme d’autres candidats à la présidentielle auraient dû savoir qu’au delà du programme, les citoyens ont besoin de savoir avec quelques personnes compétentes ils allaient gouverner. Un bon candidat à toujours un shadows cabinet. Même l’entourage de Zéphirin était flou. S’il faut qu’on vous donne le pouvoir pour que vous courriez chercher vos ministrables ça pose problème et ça ne rassure pas. Les candidats qui aspire à la fonction présidentiel devraient d’abord s’assurer d’avoir des cadres pour occuper les postes stratégiques pour impulser la dynamique qu’ils prône. Sans faire vouloir les vexer, ni Me SANKARA, ni Tahirou, ni Ablassé, ni Ram, ni Salvador, ni Saran, ni TOUGOUMA, ni Natama, ni Françoise, ni Tintin, ni ZAMPALIGRE, ne pouvait aligner derrière eux une quarantaine de cadres de haut vols, techniquement compétents et expérimenté pour immédiatement occuper les postes stratégiques de l’administration. Ce n’est pas pour prôner l’élitisme mais c’est le minimum requis. D’où la nécessité de recentrer les partis politiques pour en faire de vraies forces.
Saran n’a pas démérité. Elle comme d’autres candidats à la présidentielle auraient dû savoir qu’au delà du programme, les citoyens ont besoin de savoir avec quelques personnes compétentes ils allaient gouverner. Un bon candidat à toujours un shadows cabinet. Même l’entourage de Zéphirin était flou. S’il faut qu’on vous donne le pouvoir pour que vous courriez chercher vos ministrables ça pose problème et ça ne rassure pas. Les candidats qui aspire à la fonction présidentiel devraient d’abord s’assurer d’avoir des cadres pour occuper les postes stratégiques pour impulser la dynamique qu’ils prône. Sans faire vouloir les vexer, ni Me SANKARA, ni Tahirou, ni Ablassé, ni Ram, ni Salvador, ni Saran, ni TOUGOUMA, ni Natama, ni Françoise, ni Tintin, ni ZAMPALIGRE, ne pouvait aligner derrière eux une quarantaine de cadres de haut vols, techniquement compétents et expérimenté pour immédiatement occuper les postes stratégiques de l’administration. Ce n’est pas pour prôner l’élitisme mais c’est le minimum requis. D’où la nécessité de recentrer les partis politiques pour en faire de vraies forces.