Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Elections au Burkina : À vos claviers, la campagne « Mon Message Ma Vidéo » est lancée !
26 novembre 2015, 23:52, par
Mamadou Sawadogo
Initiative hautement salutaire. Il faut en faire une large diffusion
Il faut que le peuple en général, et les militants des partis politiques en particulier, soient suffisamment préparés et sensibilisés pour ne pas se laisser entrainer dans des aventures aux conséquences néfastes pour notre pays. Et cela, c’est d’abord et avant tout la responsabilité des leaders des partis politique, à travers leurs actes, leurs paroles et leur attitude.
Il faut que chacun(e) fasse sien/sienne, le MESSAGE que « Les seules structures ou institutions habilitées à proclamer des résultats au Burkina Faso, provisoires et définitifs, sont la CENI et le Conseil Constitutionnel » Le rôle des partis politiques, de leurs états-majors, de leurs militants et des OSC qui disent s’impliquer dans le suivi et l’observation des élections, c’est de s’assurer que tout se passe dans la transparence, que les scrutins ont été libres et non entachés d’irrégularités à même de porter atteinte à la crédibilité des élections. Il y a également des structures habilitées à gérer d’éventuels recours ou plaintes, le contentieux électoral. Au-delà de la propagande politique et des discours de campagne où tous les rêves sont permis, il faut que chaque partie prenante soit prédisposée à jouer balle à terre, le moment venu. Nous somme engagés dans un processus de compétition électorale, et comme dans un combat de lutte traditionnelle, toutes les possibilités restes ouvertes. Personne ne peut et ne doit se proclamer vainqueur avant le coup de sifflet final de l’arbitre. Nous avons tous intérêt à éviter tout autre plan qui consisterait à forcer la victoire autrement que par les urnes, dans l’intérêt supérieur du Burkina Faso. Et ce que nous attendons de nos partenaires, c’est l’accompagnement de tout le processus afin d’aider à garantir la fiabilité et la crédibilité des résultats.
Initiative hautement salutaire. Il faut en faire une large diffusion
Il faut que le peuple en général, et les militants des partis politiques en particulier, soient suffisamment préparés et sensibilisés pour ne pas se laisser entrainer dans des aventures aux conséquences néfastes pour notre pays. Et cela, c’est d’abord et avant tout la responsabilité des leaders des partis politique, à travers leurs actes, leurs paroles et leur attitude.
Il faut que chacun(e) fasse sien/sienne, le MESSAGE que « Les seules structures ou institutions habilitées à proclamer des résultats au Burkina Faso, provisoires et définitifs, sont la CENI et le Conseil Constitutionnel » Le rôle des partis politiques, de leurs états-majors, de leurs militants et des OSC qui disent s’impliquer dans le suivi et l’observation des élections, c’est de s’assurer que tout se passe dans la transparence, que les scrutins ont été libres et non entachés d’irrégularités à même de porter atteinte à la crédibilité des élections. Il y a également des structures habilitées à gérer d’éventuels recours ou plaintes, le contentieux électoral. Au-delà de la propagande politique et des discours de campagne où tous les rêves sont permis, il faut que chaque partie prenante soit prédisposée à jouer balle à terre, le moment venu. Nous somme engagés dans un processus de compétition électorale, et comme dans un combat de lutte traditionnelle, toutes les possibilités restes ouvertes. Personne ne peut et ne doit se proclamer vainqueur avant le coup de sifflet final de l’arbitre. Nous avons tous intérêt à éviter tout autre plan qui consisterait à forcer la victoire autrement que par les urnes, dans l’intérêt supérieur du Burkina Faso. Et ce que nous attendons de nos partenaires, c’est l’accompagnement de tout le processus afin d’aider à garantir la fiabilité et la crédibilité des résultats.