Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Amnistie ou amnésie pour les putschistes : Vaste insulte à l’intelligence d’un peuple meurtri dans sa chair et dans sa dignité*
25 septembre 2015, 11:09, par
Dieu bénisse le Burkina
Merci pour cette énième contribution de très haute facture (comme toujours) aux débats en cours dans notre pays.
S’il est très difficile d’accepter "l’exclusion" (si c’en est une : un des motifs du forfait) qui n’est qu’une juste sanction contre des fautifs que l’on imagine combien il plus difficile d’accepter "comme ça" la tuerie de ces pauvres enfants qui ne demandent que de l’emploi, du travail et un peu de pain pour survivre. Ce qui ne représente que des miettes sous la table à côté de ce que ces voraces du régime défunt ont accumulé en plusieurs années de vols éhontés.
Une sagesse de chez nous dit : "il faut goutter un peu voir". Laisser ces crimes impunis serait refuser de crever un abcès (celui des rancœurs accumulées et multipliées) qui risque fort de se gangrener et même de se transformer en cancer qui emporterait tôt ou tard l’ensemble du corps social.
Sans esprit de vengeance à la hauteur de ce qu’il a subit, le peuple burkinabè a besoin d’un petit signe de justice qui serait aussi une leçon pour la progéniture : la vie humaine est sacrée, on ne peut pas s’amuser avec.
Merci pour cette énième contribution de très haute facture (comme toujours) aux débats en cours dans notre pays.
S’il est très difficile d’accepter "l’exclusion" (si c’en est une : un des motifs du forfait) qui n’est qu’une juste sanction contre des fautifs que l’on imagine combien il plus difficile d’accepter "comme ça" la tuerie de ces pauvres enfants qui ne demandent que de l’emploi, du travail et un peu de pain pour survivre. Ce qui ne représente que des miettes sous la table à côté de ce que ces voraces du régime défunt ont accumulé en plusieurs années de vols éhontés.
Une sagesse de chez nous dit : "il faut goutter un peu voir". Laisser ces crimes impunis serait refuser de crever un abcès (celui des rancœurs accumulées et multipliées) qui risque fort de se gangrener et même de se transformer en cancer qui emporterait tôt ou tard l’ensemble du corps social.
Sans esprit de vengeance à la hauteur de ce qu’il a subit, le peuple burkinabè a besoin d’un petit signe de justice qui serait aussi une leçon pour la progéniture : la vie humaine est sacrée, on ne peut pas s’amuser avec.