Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Quelle éducation pour le Burkina Faso aujourd’hui et demain ?
20 novembre 2014, 15:33, par
L’éducateur
Très beau article. Notre système éducatif a été terni par les nombreuses réformes hasardeuses comme celle qui est en cours (le continuyaaré de Koumba). Seule la Ministre était convaincue de son bien fondé. Devant l’A.N. Odile Bonkoungou a démontré que la formation d’une année des maître avait le même résultat que deux. Deux égal à Un selon elle (le mystère Bonkoungou). Comment pouvez-vous comprendre que l’enseignement secondaire ne soit pas une priorité nationale sans qu’aucun Burkinabè ne s’émeuve ? Comment peut-on continuer à recruter des enseignants sans formation initiale ? Le peuple se tait et laisse les politiciens mener l’avenir des enfants vers des destinations inconnues. A la CAES, le Ministre de l’enseignement secondaire a montré visiblement qu’il était contre la réforme mais qu’il fallait accompagner. Maintenant que le peuple a pris son destin en main, si nous voulons un Burkina Nouveau, il faut être regardant envers l’école sinon nous risquons d’avancer et de reculer comme Haïti.
Très beau article. Notre système éducatif a été terni par les nombreuses réformes hasardeuses comme celle qui est en cours (le continuyaaré de Koumba). Seule la Ministre était convaincue de son bien fondé. Devant l’A.N. Odile Bonkoungou a démontré que la formation d’une année des maître avait le même résultat que deux. Deux égal à Un selon elle (le mystère Bonkoungou). Comment pouvez-vous comprendre que l’enseignement secondaire ne soit pas une priorité nationale sans qu’aucun Burkinabè ne s’émeuve ? Comment peut-on continuer à recruter des enseignants sans formation initiale ? Le peuple se tait et laisse les politiciens mener l’avenir des enfants vers des destinations inconnues. A la CAES, le Ministre de l’enseignement secondaire a montré visiblement qu’il était contre la réforme mais qu’il fallait accompagner. Maintenant que le peuple a pris son destin en main, si nous voulons un Burkina Nouveau, il faut être regardant envers l’école sinon nous risquons d’avancer et de reculer comme Haïti.