Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Modification de l’article 37 par référendum : Des leaders politiques réagissent
16 décembre 2013, 03:43, par
bistec
Mon frère, il ne quittera pas le pouvoir sans forcing, c’est beau à dire mais ne connaissons nous pas trop bien là où cela va nous mener. Nous parlons tous à la légère comme si on s’en fout que le Burkina ne s’embrase et soitaires ensanglanté. Pensons-y sérieusement ! Est-ce vraiment ce que l’on souhaite pour nos parents, enfants, amis et connaissances ? Aujourdhui, Blaise n’a que faire du pouvoir. C’est plus un fardeau qu’un trône pour lui. S’il s’y accroche avec tant de vigeur, voyons plutôt pourquoi il a peur de descendre. Pour cela nous n’avons point besoin de regarder loin. L’histoire politique de notre continent nous montre que nos dirigeants se sont toujours accrochés au pouvoir malgré toutes leurs richesses de peur d’avoir à répondre de leurs actes une fois écartés. Avec Blaise, la génération révolutionnaire que nous sommes ne lui épargnera rien s’il perd le pouvoir. Ça, mon frère, il le sait. Sachant cela, ménageons lui plutôt une belle porte de sortie dorée pour qu’il s’en aille dans la paix ! Cela ne serait point une faiblesse. Cela ne voudrait pas dire que nous renions Thomas Sankara ou Norbert Zongo. Cela voudrait simplement dire que nous choisissons la paix et la prospérité du Burkina tout comme le voulaient nos illustres disparus ! La patrie ou la mort, pour qui veut bien adopter un esprit d’ouverture, peut aussi bien dire "la paix à tout prix !"
Mon frère, il ne quittera pas le pouvoir sans forcing, c’est beau à dire mais ne connaissons nous pas trop bien là où cela va nous mener. Nous parlons tous à la légère comme si on s’en fout que le Burkina ne s’embrase et soitaires ensanglanté. Pensons-y sérieusement ! Est-ce vraiment ce que l’on souhaite pour nos parents, enfants, amis et connaissances ? Aujourdhui, Blaise n’a que faire du pouvoir. C’est plus un fardeau qu’un trône pour lui. S’il s’y accroche avec tant de vigeur, voyons plutôt pourquoi il a peur de descendre. Pour cela nous n’avons point besoin de regarder loin. L’histoire politique de notre continent nous montre que nos dirigeants se sont toujours accrochés au pouvoir malgré toutes leurs richesses de peur d’avoir à répondre de leurs actes une fois écartés. Avec Blaise, la génération révolutionnaire que nous sommes ne lui épargnera rien s’il perd le pouvoir. Ça, mon frère, il le sait. Sachant cela, ménageons lui plutôt une belle porte de sortie dorée pour qu’il s’en aille dans la paix ! Cela ne serait point une faiblesse. Cela ne voudrait pas dire que nous renions Thomas Sankara ou Norbert Zongo. Cela voudrait simplement dire que nous choisissons la paix et la prospérité du Burkina tout comme le voulaient nos illustres disparus ! La patrie ou la mort, pour qui veut bien adopter un esprit d’ouverture, peut aussi bien dire "la paix à tout prix !"
bistec