Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Cité universitaire de Kossodo : Des dizaines de véhicules incendiés ou saccagés, des étudiants arrêtés
2 août 2013, 02:27, par
mackiavel
Franchement, la vie en cité universitaire ne prend pas fin avec l’année scolaire. Nous avons étudié dans les grandes universités en Europe et pendant la période des vacances, les étudiants qui ne rejoignent pas leurs familles sont regroupés dans des blocs destinés à les recevoir. Le restaurant ne ferme qu’au mois d’août jusqu’en mi-septembre, mais tout cela fait l’objet de négociation entre représentants des étudiants et les responsables des services de la vie scolaire et estudiantine.
Il faut reconnaître que fermer les portes n’est pas une bonne solution. Nous avons des étudiants venant des pays de la sous-région et même de l’Afrique central. Ils ne peuvent pas tous rentrer chez eux pendant les vacances scolaires et universitaires et on peut s’organiser pour les faire manger, quitte à proposer des tarifs vacances qui ne seront pas totalement subventionnés.
Par ailleurs, le degré de violence actuel devra trouver son fondement dans l’attitude de nos autorités, à commencer par le PM en personne qui est allé faire la provocation sur le campus.
N’oublions pas que ce sont nos frères et soeurs et même nos enfants et les futures responsables de demain. Ne les élevons pas dans la haine et le mépris. çà risque de se retourner contre nous et ceux qui en ont on appris que les plus dangereux sont ceux qui n’ont rien à perdre.
Franchement, la vie en cité universitaire ne prend pas fin avec l’année scolaire. Nous avons étudié dans les grandes universités en Europe et pendant la période des vacances, les étudiants qui ne rejoignent pas leurs familles sont regroupés dans des blocs destinés à les recevoir. Le restaurant ne ferme qu’au mois d’août jusqu’en mi-septembre, mais tout cela fait l’objet de négociation entre représentants des étudiants et les responsables des services de la vie scolaire et estudiantine.
Il faut reconnaître que fermer les portes n’est pas une bonne solution. Nous avons des étudiants venant des pays de la sous-région et même de l’Afrique central. Ils ne peuvent pas tous rentrer chez eux pendant les vacances scolaires et universitaires et on peut s’organiser pour les faire manger, quitte à proposer des tarifs vacances qui ne seront pas totalement subventionnés.
Par ailleurs, le degré de violence actuel devra trouver son fondement dans l’attitude de nos autorités, à commencer par le PM en personne qui est allé faire la provocation sur le campus.
N’oublions pas que ce sont nos frères et soeurs et même nos enfants et les futures responsables de demain. Ne les élevons pas dans la haine et le mépris. çà risque de se retourner contre nous et ceux qui en ont on appris que les plus dangereux sont ceux qui n’ont rien à perdre.