Césaire Pooda : Sur les traces d’un communicateur pour le développement
24 mai 2012, 18:21
Moi je regrette grandement la façon dont les journalistes procèdent de la colecte et du traitement de l’info au Burkina.Comme énoncé par Cesaire,si ce n’est pas ouverture de seminaire c’est la cloture ou des reportages sur la sortie d’un ministre dans telle ou telle contréé comme si l’info se limitait à l’action gouvernementale et aussi un autre phenomène c’est la course derrière le gombo fourni sur place par les organisateurs au lieu du reportage.Le constat est si amère si bien que si l’organisateur ne donne pas le gombo,cela a une incidence sur la qualité du reportage et plus le gombo est consistant,plus ce dernier aura la chance d’avoir une page,ou allons-nous ?
Moi je regrette grandement la façon dont les journalistes procèdent de la colecte et du traitement de l’info au Burkina.Comme énoncé par Cesaire,si ce n’est pas ouverture de seminaire c’est la cloture ou des reportages sur la sortie d’un ministre dans telle ou telle contréé comme si l’info se limitait à l’action gouvernementale et aussi un autre phenomène c’est la course derrière le gombo fourni sur place par les organisateurs au lieu du reportage.Le constat est si amère si bien que si l’organisateur ne donne pas le gombo,cela a une incidence sur la qualité du reportage et plus le gombo est consistant,plus ce dernier aura la chance d’avoir une page,ou allons-nous ?