Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Je vous retrouve M. Bejot, je vous attendais sur ce sujet. Brillantissime, excellentissime. Tous les habitants de ce pays doivent avoir conscience qu’ils ont presque tous donné "du grain à moudre" à Gbagbo. Depuis les complicités et les complaisances vis-à-vis des crimes de la fesci. L’aveuglement vis-à-vis du synares, syndicat de prof d’université transformé en appendice du fpi jusqu’aux silences de la population qui a laissé l’éducation et la santé se désagréger, en passant par tous ceux qui ont accepté de payer les diplômes pour leurs enfants, de payer un droit de passage à tous ces policiers aux nombreux barrages à l’intérieur et à l’extérieur d’Abidjan, à tel point qu’il ne servait plus à rien d’avoir des papiers valides pour le véhicule. C’EST LA FAILLITE DE TOUT UN PEUPLE QUI A CRU AUX BELLES PAROLES SOUVENT INCOMPRENSIBLES DE CHARLATANS. Le pays est effectiement en miettes : plus de moralité, plus de courtoisie, plus de respect, plus de conscience pour le travail, c’est la loi de la jungle, la loi du plus fort. Roublardise, mensonge, agressivité, sont les seuls cours appris par deux générations dans les nouvelles écoles et universités : sorbonnes, agoras, parlements dont le grand recteur et ordonnateur s’appelle BléGoudé.
Dans quelles conditions ce pays pourra-til s’en sortir ? Permettez-moi d’être pessimiste et optimiste à la fois
Je vous retrouve M. Bejot, je vous attendais sur ce sujet. Brillantissime, excellentissime. Tous les habitants de ce pays doivent avoir conscience qu’ils ont presque tous donné "du grain à moudre" à Gbagbo. Depuis les complicités et les complaisances vis-à-vis des crimes de la fesci. L’aveuglement vis-à-vis du synares, syndicat de prof d’université transformé en appendice du fpi jusqu’aux silences de la population qui a laissé l’éducation et la santé se désagréger, en passant par tous ceux qui ont accepté de payer les diplômes pour leurs enfants, de payer un droit de passage à tous ces policiers aux nombreux barrages à l’intérieur et à l’extérieur d’Abidjan, à tel point qu’il ne servait plus à rien d’avoir des papiers valides pour le véhicule. C’EST LA FAILLITE DE TOUT UN PEUPLE QUI A CRU AUX BELLES PAROLES SOUVENT INCOMPRENSIBLES DE CHARLATANS. Le pays est effectiement en miettes : plus de moralité, plus de courtoisie, plus de respect, plus de conscience pour le travail, c’est la loi de la jungle, la loi du plus fort. Roublardise, mensonge, agressivité, sont les seuls cours appris par deux générations dans les nouvelles écoles et universités : sorbonnes, agoras, parlements dont le grand recteur et ordonnateur s’appelle BléGoudé.
Dans quelles conditions ce pays pourra-til s’en sortir ? Permettez-moi d’être pessimiste et optimiste à la fois