Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
Inondations du 1er septembre : L’Etat ne construira pas pour les sinistrés
2 octobre 2009, 16:15
Bonjour à tous
En partie je comprend que l’Etat se désengage de construire pour les sinistrés. Désolé pour ce que je vais dire, mais c’est qu’en même vrai "Nous savons tous que l’Etat n’est pas une compagnie d’assurance pour les sinistres". Il doit garantir notre développement avec notre participation. Dans ce sens, je vous demande de raisonner comme au temps de la révolution au Faso. Je me rappelle qu’à cette époque, pour les projets qui étaient trop couteux, le Président demandait à chaque citoyen d’apporter sa part de contribution. Nous l’avions fait pour la construction des écoles, des dispensaires, des barrages, et même des chemins de fer. On apportait tout ce qui pouvait contribuer à la réalisation du projet : briques, sable, gravier, pelle, pioche, bras valides, etc. Et même dans les écoles privées, les directeurs sollicitaient l’aide des élèves pour la construction de nouveaux bâtiments. Chaque élève donnait au minimum une brique par année.
Souvent l’armeé aussi, contribuait dans les projets de l’Etat. Il y avait les services du Genis militaires qui travaillaient dans ce sens.
C’est juste pour dire qu’il existe plusieurs façons pour aider les sinistrés. L’Etat peut certainement refuser de construire pour les sinistrés, mais il doit proposer des solutions pour les reloger chez eux. Et pour cela, il peut mettre les citoyens burkinabés à contribution mais « surtout l’armée durant tout le processus de construction pour le sinistrés ».
Bonjour à tous
En partie je comprend que l’Etat se désengage de construire pour les sinistrés. Désolé pour ce que je vais dire, mais c’est qu’en même vrai "Nous savons tous que l’Etat n’est pas une compagnie d’assurance pour les sinistres". Il doit garantir notre développement avec notre participation. Dans ce sens, je vous demande de raisonner comme au temps de la révolution au Faso. Je me rappelle qu’à cette époque, pour les projets qui étaient trop couteux, le Président demandait à chaque citoyen d’apporter sa part de contribution. Nous l’avions fait pour la construction des écoles, des dispensaires, des barrages, et même des chemins de fer. On apportait tout ce qui pouvait contribuer à la réalisation du projet : briques, sable, gravier, pelle, pioche, bras valides, etc. Et même dans les écoles privées, les directeurs sollicitaient l’aide des élèves pour la construction de nouveaux bâtiments. Chaque élève donnait au minimum une brique par année.
Souvent l’armeé aussi, contribuait dans les projets de l’Etat. Il y avait les services du Genis militaires qui travaillaient dans ce sens.
C’est juste pour dire qu’il existe plusieurs façons pour aider les sinistrés. L’Etat peut certainement refuser de construire pour les sinistrés, mais il doit proposer des solutions pour les reloger chez eux. Et pour cela, il peut mettre les citoyens burkinabés à contribution mais « surtout l’armée durant tout le processus de construction pour le sinistrés ».
Aquipa, Burkinabé au Japon