Proverbe du Jour : Vous n’empêcherez pas les oiseaux de malheur de survoler votre têtе, mаis vοus рοuvеz lеs еmрêсhеz dе niсhеr dаns vοs сhеvеux. Proverbe chinois
> Alpha Blondy : « Il ne faut pas confondre Blaise et François Compaoré »
26 juin 2007, 22:18
Koro Alpha,
En instaurant cet amalgame anachronique dans la comparaison maladroite entre notre Président COMPAORE et son frère cadet, vous nous avez autorisé à douter que vos sentiments d’affection et de fraternité vis-à-vis de notre Président n’étaient pas très sincères. S’il vous plaît je vous exhorte à ne pas réveiller les vieux démons... Nous avons réalisé, d’une part, notre réconciliation et, d’autre part, celle des ivoiriens. Ceci méritait donc respect, reconnaissance et gratitude. Vous avez, superbement, ignoré la décision de non-lieu dans le dossier Norbert ZONGO et il convient de respecter les décisions judiciaires de notre pays si vous vous sentez aussi ivoirien que burkinabé. A votre décharge, j’ose espérer que les mots ont dépassé votre pensée dans la conclusion de votre interview que je trouve, légitimement élogieux à l’égard de notre Président pour ce qu’il a fait pour la paix en Côte d’Ivoire, inutilement vexatoire et surtout insinueuse à l’égard de son frère cadet dont vous établissez nullement sa culpabilité. N’oubliez pas qu’un proverbe nous enseigne que "si vous aimez un ami, vous ne devez pas taper sur son chien". Je reste sur le shéma et la caricature de l’exemple choisi par vos soins. Me Kéré, France.
Koro Alpha,
En instaurant cet amalgame anachronique dans la comparaison maladroite entre notre Président COMPAORE et son frère cadet, vous nous avez autorisé à douter que vos sentiments d’affection et de fraternité vis-à-vis de notre Président n’étaient pas très sincères. S’il vous plaît je vous exhorte à ne pas réveiller les vieux démons... Nous avons réalisé, d’une part, notre réconciliation et, d’autre part, celle des ivoiriens. Ceci méritait donc respect, reconnaissance et gratitude. Vous avez, superbement, ignoré la décision de non-lieu dans le dossier Norbert ZONGO et il convient de respecter les décisions judiciaires de notre pays si vous vous sentez aussi ivoirien que burkinabé. A votre décharge, j’ose espérer que les mots ont dépassé votre pensée dans la conclusion de votre interview que je trouve, légitimement élogieux à l’égard de notre Président pour ce qu’il a fait pour la paix en Côte d’Ivoire, inutilement vexatoire et surtout insinueuse à l’égard de son frère cadet dont vous établissez nullement sa culpabilité. N’oubliez pas qu’un proverbe nous enseigne que "si vous aimez un ami, vous ne devez pas taper sur son chien". Je reste sur le shéma et la caricature de l’exemple choisi par vos soins. Me Kéré, France.