Burkina : L’arabe, langue oubliée de la réforme constitutionnelle ?
25 avril, 09:39, par
dabre_m@yahoo.fr
Le Professeur Mamadou Lamine soulève une interrogation pour laquelle il a lui-même une partie de la réponse. Parce que simplement cette loi adoptée est partie d’un projet de loi concocté par le ministère en charge de la question et d’éminents enseignants/chercheurs ont eu leur mot à dire. Vue sous cet angle, il est clair que c’est une omission. Mais est-ce que tard pour être rattrapé ? Une loi, ça se relit il me semble. . .
Le Professeur Mamadou Lamine soulève une interrogation pour laquelle il a lui-même une partie de la réponse. Parce que simplement cette loi adoptée est partie d’un projet de loi concocté par le ministère en charge de la question et d’éminents enseignants/chercheurs ont eu leur mot à dire. Vue sous cet angle, il est clair que c’est une omission. Mais est-ce que tard pour être rattrapé ? Une loi, ça se relit il me semble. . .