Burkina : Une grande base terroriste détruite au Centre-nord, des terroristes tués au Centre-est
18 avril, 17:20, par
Juste
Puisse le tout puissant et les ancêtres donner la force nécessaire à ces jeunes du MPSR2 de continuer le combat et nous ramener la victoire. Les polémiques du genre combien de terroristes ont été éliminés ? A quand la victoire ? Est ce que le pouvoir communique bien sur la guerre ? Ne m’interessent pas. La seule question que moi Burkinabê d’une zone périphérique se pose c’est : Que serait le BURKINA aujourd’hui si le pouvoir n’avait pas changé de main ? Les gens ne savent pas qu’on était sur le point de perdre ce pays. C’est bien les débats de haut vol autour d’une table de bière devant des femmes dénudées à Ouaga, la réalité sur le terrain est tout autre. Notre existence ne tenait que sur un un fil et il faut bien sortir de votre luxueuse capitale pour le savoir et le comprendre. Il faut d’ailleurs que dans les perspectives de l’après guerre, on songe à changer de capitale ; les Nigérians l’ont fait et rien ne s’est passé. On peut dans la dynamique d’un Burkina nouveau, penser à une nouvelle capitale qui sera moins polluée et moins infestée de parasites.
Puisse le tout puissant et les ancêtres donner la force nécessaire à ces jeunes du MPSR2 de continuer le combat et nous ramener la victoire. Les polémiques du genre combien de terroristes ont été éliminés ? A quand la victoire ? Est ce que le pouvoir communique bien sur la guerre ? Ne m’interessent pas. La seule question que moi Burkinabê d’une zone périphérique se pose c’est : Que serait le BURKINA aujourd’hui si le pouvoir n’avait pas changé de main ? Les gens ne savent pas qu’on était sur le point de perdre ce pays. C’est bien les débats de haut vol autour d’une table de bière devant des femmes dénudées à Ouaga, la réalité sur le terrain est tout autre. Notre existence ne tenait que sur un un fil et il faut bien sortir de votre luxueuse capitale pour le savoir et le comprendre. Il faut d’ailleurs que dans les perspectives de l’après guerre, on songe à changer de capitale ; les Nigérians l’ont fait et rien ne s’est passé. On peut dans la dynamique d’un Burkina nouveau, penser à une nouvelle capitale qui sera moins polluée et moins infestée de parasites.