Alliance de États du Sahel (AES) : Une ambiguïté entre les entités Sahel et Liptako-Gourma
16 avril, 05:31, par
Jonassan
En cherchant à réfléchir sur le sujet vous jetez de l’huile sur le feu. Laisser tomber l’AES c’est risquer des élections et le maintien au pouvoir des putschistes est au-dessus de toute considération économique et sociale.
L’impasse a même déjà commencé, le Mali fera appliquer par des textes son droit d’aînesse tandis que le Burkina de son PM rêveur debout ne fera pas trop de concession. Un royaume aux objectifs de terreur et de revanche ne peut pas perdurer. Ce qu’on reproche à la CEDEAO, sa lenteur administrative et son obédience bureaucratique, on acte le pire. En réalité mise en oeuvre se heurte aux objectifs peu nobles qui ont précédé la création de l’Institution à effet immédiat
Comment s’assembler durablement si chaque membre peut quitter du jour au lendemain l’assemblée. La réalité se heurte aux comportements épidermiques.
En cherchant à réfléchir sur le sujet vous jetez de l’huile sur le feu. Laisser tomber l’AES c’est risquer des élections et le maintien au pouvoir des putschistes est au-dessus de toute considération économique et sociale.
L’impasse a même déjà commencé, le Mali fera appliquer par des textes son droit d’aînesse tandis que le Burkina de son PM rêveur debout ne fera pas trop de concession. Un royaume aux objectifs de terreur et de revanche ne peut pas perdurer. Ce qu’on reproche à la CEDEAO, sa lenteur administrative et son obédience bureaucratique, on acte le pire. En réalité mise en oeuvre se heurte aux objectifs peu nobles qui ont précédé la création de l’Institution à effet immédiat
Comment s’assembler durablement si chaque membre peut quitter du jour au lendemain l’assemblée. La réalité se heurte aux comportements épidermiques.