Burkina : La Coordination nationale des associations de veille citoyenne met en garde les "déstabilisateurs" du gouvernement actuel
9 avril, 17:46, par
Timbila
Je suis parfaitement d’accord avec vous. Les autres n’ont pas droits à la parole. Dans un pays, lorsqu’on muselle certains pendant que les autres ont le droit de parole, d’injures, de menaces ouvertes sur les autres, l’ heure de la révolte sonnera et cela est indubitable. Lorsqu’on est du côté des Kalachnikov et qu’on pense qu’on est fort, on se trompe. On ne peut pas cacher le soleil avec la main. Le peuple trahi connaitra la vérité, étant donné que la situation sur le terrain n’a pas connu une évolution notable.
Je suis parfaitement d’accord avec vous. Les autres n’ont pas droits à la parole. Dans un pays, lorsqu’on muselle certains pendant que les autres ont le droit de parole, d’injures, de menaces ouvertes sur les autres, l’ heure de la révolte sonnera et cela est indubitable. Lorsqu’on est du côté des Kalachnikov et qu’on pense qu’on est fort, on se trompe. On ne peut pas cacher le soleil avec la main. Le peuple trahi connaitra la vérité, étant donné que la situation sur le terrain n’a pas connu une évolution notable.