Burkina : Le buste de Thomas Sankara veille désormais sur le CNEC de Pô
23 mars, 12:41, par
Yamba
Notre drame, c’est notre nostalgie. Quand on veut vivre son passé au présent, on souffre et ça s’appelle le rêve nostalgique.
Sankara à jouer sa partition, à vous de jouer la votre face à l’histoire et non imposer un rêve nostalgique à tout un peuple par manque de vision et de d’orientation politique pour le pays.
Soyez vous même votre sankara de 2024 sinon le réveil sera douloureux pour tous les rêveurs
Notre drame, c’est notre nostalgie. Quand on veut vivre son passé au présent, on souffre et ça s’appelle le rêve nostalgique.
Sankara à jouer sa partition, à vous de jouer la votre face à l’histoire et non imposer un rêve nostalgique à tout un peuple par manque de vision et de d’orientation politique pour le pays.
Soyez vous même votre sankara de 2024 sinon le réveil sera douloureux pour tous les rêveurs