Burkina : « Notre pays a besoin d’unité et requiert une capacité de vue qui va au-delà des intérêts individuels », estime le président du CISAG
1er mars, 10:05, par
kwiliga
L’auto-critique se disait en Union soviétique samokritika.
L’autocritique ne garantit pas la réhabilitation politique. Souvent, ceux qui étaient acculés à une telle issue se retrouvaient renvoyés du Parti, souvent déchus de leurs droits civiques et dans certains cas exécutés. Les purges de Moscou, dans la seconde moitié des années 1930, en sont un exemple célèbre : les condamnés devaient faire leur autocritique publique, en avouant toutes sortes de crimes et en s’accusant d’avoir voulu nuire à l’URSS ou au Parti, ce qui ne les empêchait pas d’être pour la plupart condamnés à mort.
L’auto-critique se disait en Union soviétique samokritika.
L’autocritique ne garantit pas la réhabilitation politique. Souvent, ceux qui étaient acculés à une telle issue se retrouvaient renvoyés du Parti, souvent déchus de leurs droits civiques et dans certains cas exécutés. Les purges de Moscou, dans la seconde moitié des années 1930, en sont un exemple célèbre : les condamnés devaient faire leur autocritique publique, en avouant toutes sortes de crimes et en s’accusant d’avoir voulu nuire à l’URSS ou au Parti, ce qui ne les empêchait pas d’être pour la plupart condamnés à mort.