Burkina : « Il faut réviser la charte pour permettre à la Transition de poursuivre son travail », Labidi Naba, porte-parole du mouvement Faso Kooz
18 février, 22:12, par
fally doucoure
ce gars ne rend pas service à IB et au lieu de nous donne rle bialn de la reconquete du territoire il veut prolonger la transition, et son patron a organise cette messe du samedi pour cela justement. Nous sommes fatigues d etre la a vous subir, de voir notre droit de choisir notre president et autres representants ne soit pas respecté ; et cela est anti constoutiionnel et il faut que le conseil constitutionnel se prononce sur cette sortie de ce monsieur, meme si il a enteriniser l etat d exception depuis plus de un an. QUe ce soit IB ou un autre fils de ce pays, nous voulons et c est notre droit et c ’est cela qui fait que nous sommes tous egaux devant la loi, elire nos representant et pas obeir et suivre par la force des gens qui sont arrivés au pouvoir par la force. nOUS SOmmes un peuple pas une caserne pas les masses d ela rue, Etre un peuple c ’est etre un ensemble de citoyens libres conscients et votants. Sinon au revoir le Burkina Faso
ce gars ne rend pas service à IB et au lieu de nous donne rle bialn de la reconquete du territoire il veut prolonger la transition, et son patron a organise cette messe du samedi pour cela justement. Nous sommes fatigues d etre la a vous subir, de voir notre droit de choisir notre president et autres representants ne soit pas respecté ; et cela est anti constoutiionnel et il faut que le conseil constitutionnel se prononce sur cette sortie de ce monsieur, meme si il a enteriniser l etat d exception depuis plus de un an. QUe ce soit IB ou un autre fils de ce pays, nous voulons et c est notre droit et c ’est cela qui fait que nous sommes tous egaux devant la loi, elire nos representant et pas obeir et suivre par la force des gens qui sont arrivés au pouvoir par la force. nOUS SOmmes un peuple pas une caserne pas les masses d ela rue, Etre un peuple c ’est etre un ensemble de citoyens libres conscients et votants. Sinon au revoir le Burkina Faso