Bobo-Dioulasso : Des dromadaires et boucs immolés pour le retour de la paix au Burkina
19 février, 17:42, par
Mechtide Guirma
Mes tantes et ma mère me disaient souvent en bonnes sages : « Fo sân zangs : WEND NA KON F’SUGRI, YA WEND NA KON F’LAAFI LA FO WATIN N’DÉÉG ». En terme littéral, cela veut dire : « Si tu refuses la demande de pardon, c’est le souhait de la bonne guérison, que tu finiras par accepter ». TRAGI-COMIQUE N’EST-CE PAS CHERS COMPATRIOTES ? Mais Dieu est Grand et Miséricordieux je l’accepte et vous avez raison. Car la logique moagha ajoute : « Sid sob ka yé ya sugr bala mbé, ti ya Sugr kaï ti yel saam ! ti tönd saambissi mwêmban rééged somsombo : Amiiiina yarabi in Shahala !
Mes tantes et ma mère me disaient souvent en bonnes sages : « Fo sân zangs : WEND NA KON F’SUGRI, YA WEND NA KON F’LAAFI LA FO WATIN N’DÉÉG ». En terme littéral, cela veut dire : « Si tu refuses la demande de pardon, c’est le souhait de la bonne guérison, que tu finiras par accepter ». TRAGI-COMIQUE N’EST-CE PAS CHERS COMPATRIOTES ? Mais Dieu est Grand et Miséricordieux je l’accepte et vous avez raison. Car la logique moagha ajoute : « Sid sob ka yé ya sugr bala mbé, ti ya Sugr kaï ti yel saam ! ti tönd saambissi mwêmban rééged somsombo : Amiiiina yarabi in Shahala !