Burkina Faso : Le capitaine Ibrahim Traoré échange avec les OSC sur la conduite de la transition
18 février, 11:45, par
kwiliga
Tiens c’est curieux, parce que l’on y voit tout de même un parallèle avec des évènements existants, ayant existés ou pouvant éventuellement se produire dans un futur pas si lointain.
Lors des triomphes ou des "ovatio", dans l’Antiquité gréco-romaine, les anciens prenaient soin de placer un esclave proche du général ou de l’empereur et qui était chargé de lui murmurer à l’oreille : "Hominem te esse memento" (« Souviens-toi que tu es un homme », c’est-à-dire « un simple mortel ») ou même : "Memento mori" (Souviens-toi que tu vas mourir ou souviens toi que tu es mortel), pour empêcher que la catharsis populaire ne leur donne un égo surdimensionné.
Au Faso, on a oublié de faire ça et maintenant, c’est surement trop tard.
Tiens c’est curieux, parce que l’on y voit tout de même un parallèle avec des évènements existants, ayant existés ou pouvant éventuellement se produire dans un futur pas si lointain.
Lors des triomphes ou des "ovatio", dans l’Antiquité gréco-romaine, les anciens prenaient soin de placer un esclave proche du général ou de l’empereur et qui était chargé de lui murmurer à l’oreille : "Hominem te esse memento" (« Souviens-toi que tu es un homme », c’est-à-dire « un simple mortel ») ou même : "Memento mori" (Souviens-toi que tu vas mourir ou souviens toi que tu es mortel), pour empêcher que la catharsis populaire ne leur donne un égo surdimensionné.
Au Faso, on a oublié de faire ça et maintenant, c’est surement trop tard.