Burkina Faso : Le capitaine Ibrahim Traoré échange avec les OSC sur la conduite de la transition
17 février, 23:39, par
Passakziri
Il y’a longtemps, trés longtemps , aux temps où les animaux parlaient encore, vivait dans un royaume des savanes un roi très puissant et très courtisé. Ce roi était tellement coutisé que ses griots pouvaient remplir le plus grand stade du royaume recto verso sans la moindre difficulté. Ses griots lui chantaient à toute occasion les louanges de sa beauté, de sa puissance , de sa perfection , si bien que le roi finit par croire en son invincibilité, à la pérénité de son pouvoir. Les clameurs des griots étaient si pénétrants , extasiants que le roi ne vit plus les souffrances de son peuple dont il avait moralement la responsabilité.
Affamé, acculé, desespéré les habitants du royaume se plaignaient dans les marchés , dans les champs, dans la cour royale, mais les griots n’arrêtaient pas de répéter au puissant roi que tout allait bien dans son royaume et que les les visiteurs de la cour royale étaient juste des citoyens venus temoigner leur reconnaissance au roi.
N’en pouvant plus, le peuple se revolta et e mis en branle par milliers vers le palais royal, scandant des paroles hostiles. Les griots redoublèrent de tintamarre pour faire croir au puissant monarque que tout va bien.
Un vendredi midi, alors que la foule avait atteint le palais royal et que les griots sentant le danger approcher s’etaient évaporés dans la nature, libéré de la musique de ses griots, le roi pris connaissance de la gravité de la situation. Sentant sa fin approcher, il enfourcha son cheval, accompagné de ses guerriers les plus fidéles eux aussi sur leurs chevaux pour fuir le royaume en plein midi d’un vendredi. Il se dirrigea vers sa belle famille qui l’hebergea comme son fils . Libéré de la terreur du monarque et de son entourage, les habitants ne cherhèrent plus à savoir ce que le cortège royal en débandade avait frauduleusement sorti du palais.
Si le roi n’est pas encore mort, c’est qu il vit encore quelque part dans ce monde.
NB : Toute ressemblance à une personne physique ou morale, à un fait réel ou littéraire n’est que le fruit du hasard.
Il y’a longtemps, trés longtemps , aux temps où les animaux parlaient encore, vivait dans un royaume des savanes un roi très puissant et très courtisé. Ce roi était tellement coutisé que ses griots pouvaient remplir le plus grand stade du royaume recto verso sans la moindre difficulté. Ses griots lui chantaient à toute occasion les louanges de sa beauté, de sa puissance , de sa perfection , si bien que le roi finit par croire en son invincibilité, à la pérénité de son pouvoir. Les clameurs des griots étaient si pénétrants , extasiants que le roi ne vit plus les souffrances de son peuple dont il avait moralement la responsabilité.
Affamé, acculé, desespéré les habitants du royaume se plaignaient dans les marchés , dans les champs, dans la cour royale, mais les griots n’arrêtaient pas de répéter au puissant roi que tout allait bien dans son royaume et que les les visiteurs de la cour royale étaient juste des citoyens venus temoigner leur reconnaissance au roi.
N’en pouvant plus, le peuple se revolta et e mis en branle par milliers vers le palais royal, scandant des paroles hostiles. Les griots redoublèrent de tintamarre pour faire croir au puissant monarque que tout va bien.
Un vendredi midi, alors que la foule avait atteint le palais royal et que les griots sentant le danger approcher s’etaient évaporés dans la nature, libéré de la musique de ses griots, le roi pris connaissance de la gravité de la situation. Sentant sa fin approcher, il enfourcha son cheval, accompagné de ses guerriers les plus fidéles eux aussi sur leurs chevaux pour fuir le royaume en plein midi d’un vendredi. Il se dirrigea vers sa belle famille qui l’hebergea comme son fils . Libéré de la terreur du monarque et de son entourage, les habitants ne cherhèrent plus à savoir ce que le cortège royal en débandade avait frauduleusement sorti du palais.
Si le roi n’est pas encore mort, c’est qu il vit encore quelque part dans ce monde.
NB : Toute ressemblance à une personne physique ou morale, à un fait réel ou littéraire n’est que le fruit du hasard.
Passakziri