Burkina Faso : Le capitaine Ibrahim Traoré échange avec les forces vives de la nation sur la conduite de la transition
17 février, 17:36, par
SOME
Merci M.le Président. L’objectif réel de la rencontre était la prolongation du mandat. Je pense qu’on gagnerait à reverser tous les fonds utilisés pour cette activité au fonds de soutien patriotique. On crie que y’a pas l’argent et en même temps on utilise le peu que nous avons pour des djandjoba. S’agit t’il réellement de force vive ???. Faisons en sorte pour que les familles de Anselme Kambou, Évrard Somda, Ablassé Ouéd.... aient le sourire pas en libérant( car pas de volonté) mais en leur permettant de les voir si c’est pas le cas. On peut même donner un pouvoir à titre posthume à nos autorités si elle le veulent. Même sans nous, le Côte d’Ivoire est bénie. N’empêche qu’on peut aller seul. Sans la RCI, nous pas mourir. Hé Burkina. L’homme n’est rien. Qui savait que Basolma allait être dans un gouvernement où les syndicats sont menacés et des enlèvements sont là monnaie courante. Ayiwa
SOME
Merci M.le Président. L’objectif réel de la rencontre était la prolongation du mandat. Je pense qu’on gagnerait à reverser tous les fonds utilisés pour cette activité au fonds de soutien patriotique. On crie que y’a pas l’argent et en même temps on utilise le peu que nous avons pour des djandjoba. S’agit t’il réellement de force vive ???. Faisons en sorte pour que les familles de Anselme Kambou, Évrard Somda, Ablassé Ouéd.... aient le sourire pas en libérant( car pas de volonté) mais en leur permettant de les voir si c’est pas le cas. On peut même donner un pouvoir à titre posthume à nos autorités si elle le veulent. Même sans nous, le Côte d’Ivoire est bénie. N’empêche qu’on peut aller seul. Sans la RCI, nous pas mourir. Hé Burkina. L’homme n’est rien. Qui savait que Basolma allait être dans un gouvernement où les syndicats sont menacés et des enlèvements sont là monnaie courante. Ayiwa
SOME