Suspension de l’exportation des produits vivriers de Côte d’Ivoire : Des commerçants burkinabè souhaitent le rétablissement de la situation
7 février, 16:39, par
DOUGAN
Nous mangeons sans nous soucier d’où vient ce que nous mangeons ni de comment nos cultivateurs font pour produire tout ça.
Voilà, ’’ bien fait pour certaines guelles’’.
Au Burkina nous avons les possibilités, Un chercheur de l’INERA n’a t il pas montré comment produire le manioc pour l’atieke etc ? En rappel, au temps forts de la guerre en Côte d’Ivoire, des femme Burkinabè formée à Bobo faisaient de l’atieke. Bref.
Si nos chercheurs trouvent mais que nous ne voulons pas développer, à qui la faute ?
Dans tous les cas, les produits cités ne sont pas de première nécessité. Quand ça sera le maïs, nous pourront crier.
Et puis, la côte d’ivoire refuse d’exporter par ce que la nourriture devient chère chez elle, nous aussi avons refusé d’exporter par ce qu’à cause du terrorisme, nous ne pouvions plus produire assez. Match nul.
Que chacun reparte prendre un lopin de terre au village pour produire et nous atteindrons l’autosuffisance alimentaire.
C’est pas vous qui bradez vos terre aux opérateurs immobilier pour avoir l’argent aller en côté d’ivoire ? N’gaw !
Nous mangeons sans nous soucier d’où vient ce que nous mangeons ni de comment nos cultivateurs font pour produire tout ça.
Voilà, ’’ bien fait pour certaines guelles’’.
Au Burkina nous avons les possibilités, Un chercheur de l’INERA n’a t il pas montré comment produire le manioc pour l’atieke etc ? En rappel, au temps forts de la guerre en Côte d’Ivoire, des femme Burkinabè formée à Bobo faisaient de l’atieke. Bref.
Si nos chercheurs trouvent mais que nous ne voulons pas développer, à qui la faute ?
Dans tous les cas, les produits cités ne sont pas de première nécessité. Quand ça sera le maïs, nous pourront crier.
Et puis, la côte d’ivoire refuse d’exporter par ce que la nourriture devient chère chez elle, nous aussi avons refusé d’exporter par ce qu’à cause du terrorisme, nous ne pouvions plus produire assez. Match nul.
Que chacun reparte prendre un lopin de terre au village pour produire et nous atteindrons l’autosuffisance alimentaire.
C’est pas vous qui bradez vos terre aux opérateurs immobilier pour avoir l’argent aller en côté d’ivoire ? N’gaw !