« Le Burkina Faso reste membre de l’UMOA », déclare Dr Aboubakar Nacanabo, ministre de l’Économie et des finances
4 février, 15:15, par
Simo
C’est vraiment léger comme argument. Déjà le bénéfice qu on peut tirer de la libre circulation des personnes et de leur établissement n a pas de prix. Pour un pays qui a près de 1\4 de sa population pour le seul pays comme le Ghana, on ne peut pas jouer à prendre des décisions qui nuisent à leur intérêt sans consultation et sans une réflexion profondes. Cela s appelle du mépris.
Si ce sont les prélèvements votre soucis, il fallait juste demander la renegociation du tarif extérieur de la CEDEAO. Cela ne peut donc pas être utiliser comme un argument pour se retirer de l organisation.
C’est vraiment léger comme argument. Déjà le bénéfice qu on peut tirer de la libre circulation des personnes et de leur établissement n a pas de prix. Pour un pays qui a près de 1\4 de sa population pour le seul pays comme le Ghana, on ne peut pas jouer à prendre des décisions qui nuisent à leur intérêt sans consultation et sans une réflexion profondes. Cela s appelle du mépris.
Si ce sont les prélèvements votre soucis, il fallait juste demander la renegociation du tarif extérieur de la CEDEAO. Cela ne peut donc pas être utiliser comme un argument pour se retirer de l organisation.