Pr Hamidou Sawadogo : « Le retrait du Burkina, du Mali et du Niger de la CEDEAO est une décision mûrie »
1er février, 10:19, par
Ke’lam KA
Le compte d’opérations n’est pas clôturé : les états de la zone Fcfa doivent encore y loger au moins 50% de leurs avoirs en devises. De plus, des français siègent toujours à des postes clés à la BCEAO et à la BEAC avec un droit de veto sur les décisions de ces institutions. Enfin l’arrimage avec l’euro, en déphasage avec les économies des pays des 2 zones, est un mécanisme qui favorise les transfert des bénéfices des sociétés françaises, pénalise les échanges extérieurs et les investissements des ces pays.
Le compte d’opérations n’est pas clôturé : les états de la zone Fcfa doivent encore y loger au moins 50% de leurs avoirs en devises. De plus, des français siègent toujours à des postes clés à la BCEAO et à la BEAC avec un droit de veto sur les décisions de ces institutions. Enfin l’arrimage avec l’euro, en déphasage avec les économies des pays des 2 zones, est un mécanisme qui favorise les transfert des bénéfices des sociétés françaises, pénalise les échanges extérieurs et les investissements des ces pays.