Retrait des pays de l’AES de la CEDEAO : L’Union Africaine appelle à la conjugaison des efforts pour préserver l’unité
31 janvier, 10:02, par
kwiliga
Bonjour Abdoulaye M,
Donc, selon vous, dans la "novlangue", il nous est interdit d’utiliser le terme de putchiste, vous avez raison, parce que ça s’écrit putschiste, comme le rédige justement Monsieur Siriki, dont les propos semblent vous dépasser, mais que vous vous permettez de traiter "d’homme de la rue" qui ne serait "pas africain"...
Et comment doit-on appeler un militaire qui prend le pouvoir par la force des armes ? Charismatique leader ? Petit père des peuples ? Grand Timonier ? Nouveau Messie ?
J’en suis bien désolé pour vous, mais tant que nos putschistes dirigeants ne se sont pas consacrés à l’écriture du petit lexique de la "novlangue Kyelemo-Traoresque", nous indiquant ainsi les nouvelles définitions des mots, les gens lucides continueront à nommer un putschiste, putschiste et un dictateur, dictateur.
Ce lexique sera bien entendu rédigé dans la soixantaine de langues nationales que comporte notre beau pays, distribué à chacun de nos compatriote, qui aura l’obligation de l’apprendre par cœur et de le réciter sans faute, au risque de se faire traiter d’apatride, comme prévu dans le lexique.
Bonjour Abdoulaye M,
Donc, selon vous, dans la "novlangue", il nous est interdit d’utiliser le terme de putchiste, vous avez raison, parce que ça s’écrit putschiste, comme le rédige justement Monsieur Siriki, dont les propos semblent vous dépasser, mais que vous vous permettez de traiter "d’homme de la rue" qui ne serait "pas africain"...
Et comment doit-on appeler un militaire qui prend le pouvoir par la force des armes ? Charismatique leader ? Petit père des peuples ? Grand Timonier ? Nouveau Messie ?
J’en suis bien désolé pour vous, mais tant que nos putschistes dirigeants ne se sont pas consacrés à l’écriture du petit lexique de la "novlangue Kyelemo-Traoresque", nous indiquant ainsi les nouvelles définitions des mots, les gens lucides continueront à nommer un putschiste, putschiste et un dictateur, dictateur.
Ce lexique sera bien entendu rédigé dans la soixantaine de langues nationales que comporte notre beau pays, distribué à chacun de nos compatriote, qui aura l’obligation de l’apprendre par cœur et de le réciter sans faute, au risque de se faire traiter d’apatride, comme prévu dans le lexique.