Burkina / Médias : « Mon double reportage à Djibo est une expérience qui me permet de dire que j’ai eu à faire du journalisme », Abdoul Fhatave Tiemtoré, rédacteur en chef de Oméga media
31 janvier, 11:29, par
Barkbiiga
Bagaman, ce métier reste toujours noble et l’est encore plus aujourd’hui. Il suffit de quitter son Burkina, voyager pour comprendre le respect et la crédibilité dont jouissent les médias burkinabè. Et puis, ce n’est pas parce que les journalistes ne disent pas ce que vous voulez entendre qu’ils ne sont pas crédibles et mentent, bien au contraire, les vrais journalistes ne sont pas là pour faire plaisir, ils défendent l’intérêt général, qui n’est pas la somme de l’intérêt de chaque personne ou groupe de personnes. Donc, faites la nuance. Cependant, je conviens que dans le lot de journalistes au Burkina Faso, il y a des brebis galeuses, des chasseurs de primes, les organisations professionnelles de médias doivent travailler à les chasser de ce noble métier.
Bagaman, ce métier reste toujours noble et l’est encore plus aujourd’hui. Il suffit de quitter son Burkina, voyager pour comprendre le respect et la crédibilité dont jouissent les médias burkinabè. Et puis, ce n’est pas parce que les journalistes ne disent pas ce que vous voulez entendre qu’ils ne sont pas crédibles et mentent, bien au contraire, les vrais journalistes ne sont pas là pour faire plaisir, ils défendent l’intérêt général, qui n’est pas la somme de l’intérêt de chaque personne ou groupe de personnes. Donc, faites la nuance. Cependant, je conviens que dans le lot de journalistes au Burkina Faso, il y a des brebis galeuses, des chasseurs de primes, les organisations professionnelles de médias doivent travailler à les chasser de ce noble métier.