Retrait Burkina-Mali-Niger de la CEDEAO : « La commission de la CEDEAO n’a pas encore reçu de notification formelle » (Communiqué)
29 janvier, 07:23, par
Article 37
La CEDEAO est une institution où quelques membres minoritaires ont décidé de claquer la porte au nom de leurs compatriotes. Ces compatriotes à qui on a décidé d’imposé la manière de vivre, de manger et de penser.
Il est clair que c’est le calendrier électoral qui pose problème. Quitter va créer plus de problèmes que de les résoudre. Au cas les pays de l’UEMOA ne nous faciliteraient pas l’accès à leur littoral, il va rester la Guinée de la CEDEAO. Au moment où le Maroc frappe à la porte de la CEDEAO, nous on claque la porte à l’heure de la constitution des grands ensembles.
On les sent venir, bientôt venir avec des réformes qui ne sont celles de reconquérir les territoires occupés : révision des constitutions, suppressions d’institutions, création d’institutions dont certaines personnes détiennent les secrets, des assemblées de transitions où les votes se font à l’unanimité.
Qui dira la vérité à ces hommes en treillis, dont les civils semblent devenus otage.
La CEDEAO est une institution où quelques membres minoritaires ont décidé de claquer la porte au nom de leurs compatriotes. Ces compatriotes à qui on a décidé d’imposé la manière de vivre, de manger et de penser.
Il est clair que c’est le calendrier électoral qui pose problème. Quitter va créer plus de problèmes que de les résoudre. Au cas les pays de l’UEMOA ne nous faciliteraient pas l’accès à leur littoral, il va rester la Guinée de la CEDEAO. Au moment où le Maroc frappe à la porte de la CEDEAO, nous on claque la porte à l’heure de la constitution des grands ensembles.
On les sent venir, bientôt venir avec des réformes qui ne sont celles de reconquérir les territoires occupés : révision des constitutions, suppressions d’institutions, création d’institutions dont certaines personnes détiennent les secrets, des assemblées de transitions où les votes se font à l’unanimité.
Qui dira la vérité à ces hommes en treillis, dont les civils semblent devenus otage.