Elevage au Burkina : « A l’heure actuelle, nous ne pouvons pas donner de données fiables sur le cheptel », Amadou Dicko
28 janvier, 12:29, par
Jean
Au lieu de construire de nouvelles laiteries, accompagnons celles qui existent pour collecter du lait en quantité suffisante pour atteindre leur seuil de rentabilité ! Mais, le Burkina souffre d’une maladie chronique d’une cérémonie de pose de la 1ère pierre de ceci ou de cela pour des usines non rentables. Que dire de l’éléphant blanc à Loumbila pour transformer la tomate qui n’a jamais rien produit par la faute d’une directrice prédatrice ?
Au lieu de construire de nouvelles laiteries, accompagnons celles qui existent pour collecter du lait en quantité suffisante pour atteindre leur seuil de rentabilité ! Mais, le Burkina souffre d’une maladie chronique d’une cérémonie de pose de la 1ère pierre de ceci ou de cela pour des usines non rentables. Que dire de l’éléphant blanc à Loumbila pour transformer la tomate qui n’a jamais rien produit par la faute d’une directrice prédatrice ?