Réforme constitutionnelle : "Le Conseil supérieur de la magistrature a été mis hors-jeu...et contourné comme un rond point" déplore Mazobé Kondé
14 janvier, 09:42, par
kwiliga
Bonjour Lom-Lom,
Si vous relisez attentivement mon message, vous saisirez que je n’ai aucune prétention à représenter le peuple, ce qui est justement ce que je reproche à votre formulation. "que la nouvelle constitution n’a pas été soumise à un référendum", il n’est point question de le chanter, il suffit de tristement le constater, de même que nous ne pouvons que valider le fait que les grandes consultations populaires promises, ce sont réduites à peau de chagrin. "ceux qui ne sentent pas concernés peuvent déménager à Paris", peut-être en est-il certains qui, ne se sentant pas concernés, appréciant peu de vivre sous un régime dictatorial, aimeraient déménager à Paris mais ne le peuvent point. Mais d’autres, à n’en pas douter, en désaccord avec le modèle coercitif qui s’impose aujourd’hui dans notre pays, préfèreront rester sur place, pour essayer de représenter, autant que faire ce peut, quelque opposition à la tyrannie qui s’installe. Ceux que l’on nomme et nommera dans la novlangue des IBéologues des "apatrides".
Bonjour Lom-Lom,
Si vous relisez attentivement mon message, vous saisirez que je n’ai aucune prétention à représenter le peuple, ce qui est justement ce que je reproche à votre formulation.
"que la nouvelle constitution n’a pas été soumise à un référendum", il n’est point question de le chanter, il suffit de tristement le constater, de même que nous ne pouvons que valider le fait que les grandes consultations populaires promises, ce sont réduites à peau de chagrin.
"ceux qui ne sentent pas concernés peuvent déménager à Paris", peut-être en est-il certains qui, ne se sentant pas concernés, appréciant peu de vivre sous un régime dictatorial, aimeraient déménager à Paris mais ne le peuvent point. Mais d’autres, à n’en pas douter, en désaccord avec le modèle coercitif qui s’impose aujourd’hui dans notre pays, préfèreront rester sur place, pour essayer de représenter, autant que faire ce peut, quelque opposition à la tyrannie qui s’installe. Ceux que l’on nomme et nommera dans la novlangue des IBéologues des "apatrides".