Burkina : L’UPC s’indigne de la catégorisation des citoyens en « patriotes » et en « apatrides »
4 janvier, 22:49, par
Renault HÉLIE
C’est une politique de « clivage », appelons cela plus crûment « politique de la haine ».
Les gouvernements dictatoriaux manquant d’imagination, et manquant surtout de légitimité démocratique, y ont souvent recours. Lisez ou relisez « 1984 » de George ORWELL, ou encore « la ferme des animaux » du même auteur. J’espère qu’on peut encore le trouver en bibliothèque au BF ; si vous saviez combien j’ai pu lire en Afrique ! Variantes :
« les bons contre les méchants »,
« les honnêtes citoyens contre les terroristes »,
« qui n’est pas avec nous est contre nous »,
« patriotes contre apatrides »,
« vrais XXX contre infâmes valets du YYY »,
« bons et vrais croyants contre mécréants adorateurs de Satan ».
Quand cela se double de violence, de menaces, d’enlèvements, de conscription forcées, d’émeutiers suspects cherchant à « manger » malgré leur QI de poisson séché-fumé, on passe au stade du fascisme pur et simple. Quant aux vieilles recettes fascisantes de type marxiste-guévariste, on sait depuis un siècle à quels échecs économiques elles mènent.
Si le gouvernement imposé obtient quelques résultats, il arrive à faire un peu oublier ses excès.
C’est aux citoyens eux-mêmes de voir si un gouvernement a passé le cap du facisme intolérable, ou bien s’il garde une efficacité extraordinaire qui compense ses « petits » abus.
Hélas, ces gouvernements basés sur la force et non pas l’adhésion peuvent durer des décennies, même s’ils sont inefficaces ; et cela laisse du temps à leurs profiteurs d’engranger des francs suisses dans les discrètes banques helvétiques ...
C’est une politique de « clivage », appelons cela plus crûment « politique de la haine ».
Les gouvernements dictatoriaux manquant d’imagination, et manquant surtout de légitimité démocratique, y ont souvent recours. Lisez ou relisez « 1984 » de George ORWELL, ou encore « la ferme des animaux » du même auteur. J’espère qu’on peut encore le trouver en bibliothèque au BF ; si vous saviez combien j’ai pu lire en Afrique !
Variantes :
« les bons contre les méchants »,
« les honnêtes citoyens contre les terroristes »,
« qui n’est pas avec nous est contre nous »,
« patriotes contre apatrides »,
« vrais XXX contre infâmes valets du YYY »,
« bons et vrais croyants contre mécréants adorateurs de Satan ».
Quand cela se double de violence, de menaces, d’enlèvements, de conscription forcées, d’émeutiers suspects cherchant à « manger » malgré leur QI de poisson séché-fumé, on passe au stade du fascisme pur et simple. Quant aux vieilles recettes fascisantes de type marxiste-guévariste, on sait depuis un siècle à quels échecs économiques elles mènent.
Si le gouvernement imposé obtient quelques résultats, il arrive à faire un peu oublier ses excès.
C’est aux citoyens eux-mêmes de voir si un gouvernement a passé le cap du facisme intolérable, ou bien s’il garde une efficacité extraordinaire qui compense ses « petits » abus.
Hélas, ces gouvernements basés sur la force et non pas l’adhésion peuvent durer des décennies, même s’ils sont inefficaces ; et cela laisse du temps à leurs profiteurs d’engranger des francs suisses dans les discrètes banques helvétiques ...