La vérité des enlèvements pour le front au Burkina Faso
31 janvier, 09:40, par
Tapoapc
Il y a une réalité qu’il faut accepter, la voie actuelle empruntée créera ou approfondira davantage la fracture dans notre pays que de souder le peuple.
Un père de famille responsable ne peut opposer ses fils et prétendre travailler pour l’unité et la cohésion de la famille. C’est encore pire, lorsqu’il s’appuie sur des contre-vérités. Le fond est l’éducation des masses et non opposer les analphabètes aux alphabétisés, les agents de la fonction publique aux masses... Nous savons que ce jeu est pour imposer certaines mesures. Mais, dans le contexte actuel, le sens de responsabilité commande qu’il ait une discussion franche entre tous les acteurs de la société pour agir. Mais, bander les muscles et s’appuyer sur le principe de diviser pour régner ne me semble pas une alternative pertinente et durable.
Utiliser la mobilisation générale comme instrument pour punir et régler des comptes dans des divergences d’opinion est vraiment lamentable et étale une incapacité des acteurs du moment à s’inscrire dans une gouvernance vertueuse. Justifier ces abus de pouvoir par la crise sécuritaire est aussi une courte vue et une méconnaissance du rôle du sens de la responsabilité dans le combat que nous menons contre les délinquants qui ont envahi notre pays.
Ces délinquants ont quitté la république, ont refusé d’utilisé les instruments républicains pour exprimer leurs désaccords. Le gouvernement doit agir pour leur montrer qu’ils ont tort, pour ne pas les conforter dans leur choix. Pas seulement par les armes, mais aussi et surtout par la création d’un cadre propice à l’expression des droits républicains.
La transition doit absolument rectifier son approche pour atteindre son premier objectif, celui d’un Burkina de paix et de cohésion.
Il y a une réalité qu’il faut accepter, la voie actuelle empruntée créera ou approfondira davantage la fracture dans notre pays que de souder le peuple.
Un père de famille responsable ne peut opposer ses fils et prétendre travailler pour l’unité et la cohésion de la famille. C’est encore pire, lorsqu’il s’appuie sur des contre-vérités. Le fond est l’éducation des masses et non opposer les analphabètes aux alphabétisés, les agents de la fonction publique aux masses... Nous savons que ce jeu est pour imposer certaines mesures. Mais, dans le contexte actuel, le sens de responsabilité commande qu’il ait une discussion franche entre tous les acteurs de la société pour agir. Mais, bander les muscles et s’appuyer sur le principe de diviser pour régner ne me semble pas une alternative pertinente et durable.
Utiliser la mobilisation générale comme instrument pour punir et régler des comptes dans des divergences d’opinion est vraiment lamentable et étale une incapacité des acteurs du moment à s’inscrire dans une gouvernance vertueuse. Justifier ces abus de pouvoir par la crise sécuritaire est aussi une courte vue et une méconnaissance du rôle du sens de la responsabilité dans le combat que nous menons contre les délinquants qui ont envahi notre pays.
Ces délinquants ont quitté la république, ont refusé d’utilisé les instruments républicains pour exprimer leurs désaccords. Le gouvernement doit agir pour leur montrer qu’ils ont tort, pour ne pas les conforter dans leur choix. Pas seulement par les armes, mais aussi et surtout par la création d’un cadre propice à l’expression des droits républicains.
La transition doit absolument rectifier son approche pour atteindre son premier objectif, celui d’un Burkina de paix et de cohésion.