Dr Arouna Louré, de retour du front : « Nous pouvons gagner cette guerre plus rapidement, moins chère et avec moins de pertes en vies humaines »

Tous Burkinabè doivrait être prêts à aller au front et je m’inscrits totalement en faux contre les histoires du genre c’est un gachis d’envoyer un médecin au front, liberté d’expression, blablabla.
Je vais d’abord rappeler à ceux- là que personnes et vraiment personne n’est indispensable aujourd’hui au Burkina. Si Dr Louré mourait aujourd’hui, la vie du pays se poursuivra si ce n’est seuls ces parents et amis qui constateront sa disparu. Et d’ailleurs les cimetières sont remplis d’hommes et de femmes indispensables.
A un moment donnée de l’histoire d’un pays, un secteur devient essentiel et vital ; qu’on soit architecte, vétérinaire, sociologue, journaliste etc chacun doit pouvoir être mobiliser. C’est le cas du secteur de la sécurité et de la défense aujourd’hui et pour, les premiers à être mobiliser devraient être les experts en critiques de la stratégie de défense sur plateau de télé et les réseau sociaux à longueur de journée afin de leur permettre de mettre à disposition du pays leur expertise en matière de sécurité et défense.
Aimer son pays ce n’est pas passer son temps à proférer des insanités, des critiques stériles bon à curer les égouts, se faisant passer pour une clé passe- partout, qui connait tout et à solution à tout.
Ce pays est "une savane" on se connait tous et tout se sait sous nos tropiques. Touts ces individus qui passent le claire de leur temps à raconté des aberrations de base étage, leur mobile habilement cacher dernière le vocable de liberté d’expression et de démocratie ne trompent plus personne. Pour ne prendre que le cas de Dr Louré, on la vue sous Damiba, où non seulement il émargeait deux fois par mois, mais malgré les frasques de Damiba, il n’a ni démissionné ni vertement critiqué la gestion caotique de son mentor. Mieux, on a vu des gros bras de Damiba, bastonner les militants du Balai citoyen à Bobo dans l’indifférence totale des experts en liberté d’expression et de démocratie, C’est aujourd’hui qu’on nous sort l’argument de liberté d’expression. On a simplement à faire à quelqu’un qui veut jouer le Marty, faire le sensationnel pour tirer sur lui les feux des projecteurs.
Enfin, un mot sur la justice ; , l’arrêt de justice qui a été rendu sur les enrôlements passés ne veut nullement dire que le droit a été dit pour moi. Ce arrêt indique simplement que le Burkina doit être reformé en profondeur.. On se rappelle que cette même justice a condamné Blaise Compaoré à perpétuité dans le procès de Thomas Sankara et ses compagnons d’infortune et sous la barbe de la même justice, Compaoré est venu se promener au Faso, et il n’y a eu ni grève ni même un communiqué du conseil supérieur de la magistrature sous Damiba. Alors, de qui se moque-t-on ?