Bravo Mme KABORE, mais il y a le revers de la médaille ! Quel temps aura pour songer à elle même ? A sa carrière ? Parce que malheureusement dans notre système le dévouement, la compétence et l’abnégation ne sont pas récompensés. Plusieurs de ses camarades carriéristes sont sûrement inspecteur ou même plus en s’investissant plus dans les concours que dans l’enseignement. Une telle dame devrait être admise sur ses résultats exceptionnels. Dans certains pays, sa capacité à transcender tous les pièges et les écueils de l’apprentissage et de l’éducation aurait fait d’elle un EXPERT à qui on demanderait de former les jeunes instituteurs ou ceux qui ont de mauvais résultats à sa MÉTHODE. Une telle approche permettrait de former de manière PRAGMATIQUE nos enseignants. En plus si les enseignants savent qu’en s’investissant dans leur travail d’enseignants, ils auront de la promotion, la plupart d’entre eux s’investiraient dans le travail. Aujourd’hui beaucoup d’employés s’investissent dans les universités privées pour obtenir des diplômes et progresser au détriment de leur travail. Ainsi les paresseux deviennent les patrons entraînant tout le monde vers le bas. C’est tout notre système éducatif et administratif qu’il faut revoir.
Bravo Mme KABORE, mais il y a le revers de la médaille ! Quel temps aura pour songer à elle même ? A sa carrière ? Parce que malheureusement dans notre système le dévouement, la compétence et l’abnégation ne sont pas récompensés. Plusieurs de ses camarades carriéristes sont sûrement inspecteur ou même plus en s’investissant plus dans les concours que dans l’enseignement. Une telle dame devrait être admise sur ses résultats exceptionnels. Dans certains pays, sa capacité à transcender tous les pièges et les écueils de l’apprentissage et de l’éducation aurait fait d’elle un EXPERT à qui on demanderait de former les jeunes instituteurs ou ceux qui ont de mauvais résultats à sa MÉTHODE. Une telle approche permettrait de former de manière PRAGMATIQUE nos enseignants. En plus si les enseignants savent qu’en s’investissant dans leur travail d’enseignants, ils auront de la promotion, la plupart d’entre eux s’investiraient dans le travail. Aujourd’hui beaucoup d’employés s’investissent dans les universités privées pour obtenir des diplômes et progresser au détriment de leur travail. Ainsi les paresseux deviennent les patrons entraînant tout le monde vers le bas. C’est tout notre système éducatif et administratif qu’il faut revoir.