Burkina : Les conditions de rebaptisation d’infrastructures au nom de « Thomas Sankara »
11 novembre 2023, 10:52, par
Alpha2025
Analysons les faits objectivement et laissons tomber les supputations. Mettre les licenciements au passif de notre frère devenu ivoirien n’est pas juste, car à l’époque, Sankara était chef de l’état. Il aurait pu s’opposer aux licenciements s’il le voulait. Parler de Sankara déchaine toujours les passions. Le jour ou les Burkinabè sauront faire une analyse froide et dépassionnée du passage de Thomas Sankara à la tête de l’état, ce jour là sera pour eux comme une autre indépendance. Je ne suis pas sankariste. Je reconnais cependant que ce pays a engrangé des acquis pendant les quatre ans de la période révolutionnaire. En même temps, beaucoup d’erreurs ont été commises. Il convient que nous puissions analyser tout cela fridement, sans passions afin d’aller de l’avant.
Analysons les faits objectivement et laissons tomber les supputations. Mettre les licenciements au passif de notre frère devenu ivoirien n’est pas juste, car à l’époque, Sankara était chef de l’état. Il aurait pu s’opposer aux licenciements s’il le voulait. Parler de Sankara déchaine toujours les passions. Le jour ou les Burkinabè sauront faire une analyse froide et dépassionnée du passage de Thomas Sankara à la tête de l’état, ce jour là sera pour eux comme une autre indépendance. Je ne suis pas sankariste. Je reconnais cependant que ce pays a engrangé des acquis pendant les quatre ans de la période révolutionnaire. En même temps, beaucoup d’erreurs ont été commises. Il convient que nous puissions analyser tout cela fridement, sans passions afin d’aller de l’avant.