Burkina : « Les libertés individuelles ne priment pas sur celles de la Nation (...) » (président de la transition, Ibrahim Traoré)
13 novembre 2023, 23:20, par
Renault HÉLIE
@Agglomération
Messire « Agglomération », on est bien obligé de pardonner un peu vos jeunes compatriotes qui vivent sur un nuage, un « cloud », de clichés, de rumeurs, d’infoxes, etc.
Ils sont nés 30 ou 40 ans après l’indépendance pour 95% d’entre eux (voir les statistiques démographiques du BF !) ;
ils ont peu voyagé ;
ils n’ont guère lu de véritables livres ;
ils n’ont pas eu une formation critique suffisante, ils n’ont pas le réflexe de VÉRIFIER l’information, qu’ils gobent telle quelle sur les réseaux sociaux ;
on leur a souvent déversé un enseignement peu sérieux et idéologisé de l’histoire et de l’économie.
Donc, si un propagandiste leur balance une « fake news » du genre « chez nous, rien ne va, mais là où il y avait les Anglais ou les Russes, c’est le Paradis », ils gobent tout rond sans jamais avoir traîné leurs claquettes à Lagos, Khartoum ou Capetown, villes où l’on meurt assez facilement pour cause de banditisme ou de fusillade entre gangs.
Il y a un énorme travail culturel à accomplir.
Rassurez-vous, certains de nos jeunes à nous, surtout ceux d’origine immigrée, ont de drôle de croyances et ne saisissent pas la chance qu’ils ont d’être en France et pas au Yémen ou au Bangla Desh.
@Agglomération
Messire « Agglomération », on est bien obligé de pardonner un peu vos jeunes compatriotes qui vivent sur un nuage, un « cloud », de clichés, de rumeurs, d’infoxes, etc.
Ils sont nés 30 ou 40 ans après l’indépendance pour 95% d’entre eux (voir les statistiques démographiques du BF !) ;
ils ont peu voyagé ;
ils n’ont guère lu de véritables livres ;
ils n’ont pas eu une formation critique suffisante, ils n’ont pas le réflexe de VÉRIFIER l’information, qu’ils gobent telle quelle sur les réseaux sociaux ;
on leur a souvent déversé un enseignement peu sérieux et idéologisé de l’histoire et de l’économie.
Donc, si un propagandiste leur balance une « fake news » du genre « chez nous, rien ne va, mais là où il y avait les Anglais ou les Russes, c’est le Paradis », ils gobent tout rond sans jamais avoir traîné leurs claquettes à Lagos, Khartoum ou Capetown, villes où l’on meurt assez facilement pour cause de banditisme ou de fusillade entre gangs.
Il y a un énorme travail culturel à accomplir.
Rassurez-vous, certains de nos jeunes à nous, surtout ceux d’origine immigrée, ont de drôle de croyances et ne saisissent pas la chance qu’ils ont d’être en France et pas au Yémen ou au Bangla Desh.