Burkina Faso : « Cessons nos égoïsmes et pensons collectif », invite le Premier ministre Apollinaire Kyélèm

Agglomération, cher Aggloméré
Avant que nous passions aux "régimes passés" comme vous dites, permettez moi d’abord de revenir sur notre précédente (échange car c’est ainsi que je l’ai souhaité) pour que chacun de nous participe de manière UTTILE à la discussion pour parler simplement.

Voici votre poste auquel j’ai réagi :
"Les propos de Tambela sont morbides. Ce qui est malsain dans cette affaire c’est qu’il y un besoin compulsif d’enfermer les burkinabè dans une logique suicidaire. Je ne reconnais plus le Burkina. L’état de droit à vraiment foutu le camp il y a belle lurette."

Et ma réaction :
Agglomération

"Je ne sais si au moment d’écrire ces lignes, vous étiez dans la course ?
Parce vous n’avez fait que des déclarations sans dire le comment et le pourquoi. Ce qui est dommage car, vos arguments peuvent intéresser ceux qui vous lisent.
J’espère d’ici que mon écrit paraisse, vous serriez arriver où vous alliez en courant et pourrez enfin argumenter.
Cordialement."

Est-ce nécessaire de vous préciser que mon poste est dans une démarche de comprendre d’où vous tenez ces vérités visiblement définitives, pour qu’ensuite, si elles sont fondées, que ma compréhension s’élargisse, que je vous rejoigne pour combattre l’imposture finalement...

Et pour tout argument et en tout, vous réagissez de la sorte à ma demande :
"Internaute ’’G....,.ba’’, vous êtes fatigués, sclérosé, engouffré dans un rôle que vous avez librement choisi. Alors apprenez à réfléchir tout seul quand vous êtes dans une position où vous ne comprenez rien de la situation. C’est toujours comme ça avec les suivistes."

Après cette argumentation digne de la parole biblique, je vous vous ai fait une réponse qui n’a pas été publiée. Peu être que le personnel de lefaso.net sont hyper occupés pour l’instant...

Pour revenir aux moutons qui rentrent dans la brousse, vous comprendrez mes motivations d’installer le dialogue pour ensuite, si vous le souhaiter, parler de tout ce que vous voulez. Bien évidemment avec des arguments cette fois. De sorte à vous permettre de vérifier mes capacités d’argumentations si j’en ai.

Espérant cette fois vous convier à l’échange, je vous souhaite une bonne soirée ou matinée selon votre position.