Merci M. Traoré pour cet appel qui témoigne de votre engagement et votre Amour pour le Burkina. Vous seriez resté en France vivre une retraite paisible et bien méritée qu’il n’y aurait rien à redire. Mais voilà vous avez choisi de ne pas oublier d’où vous venez et celà est a votre honneur
Tout observateur de la scène politique burkinabe s’interroge sur les différentes formes de manipulations dont le pays est victime en ce moment et la violence fait partie de ces manipulations. Les formations syndicales en donnant de la voix sont dans leurs droits. En interrogeant l’histoire cependant on peut aussi se rendre compte que les premiers et principaux pourfendeurs de la révolution d’août 1983 ont été les syndicats, la suite on la connaît.
Beaucoup de ceux qui adulent Sankara aujourd’hui l’ont farouchement combattu hier. Puisque l’histoire semble se répéter, il est tout à fait opportun d’appeler tous ceux qui aiment le Burkina à veiller à ce que les manipulateurs d’où qu’ils viennent et de quelques bords qu’ils soient n’embrasent pas notre pays. Merci M. Traoré
Merci M. Traoré pour cet appel qui témoigne de votre engagement et votre Amour pour le Burkina. Vous seriez resté en France vivre une retraite paisible et bien méritée qu’il n’y aurait rien à redire. Mais voilà vous avez choisi de ne pas oublier d’où vous venez et celà est a votre honneur
Tout observateur de la scène politique burkinabe s’interroge sur les différentes formes de manipulations dont le pays est victime en ce moment et la violence fait partie de ces manipulations. Les formations syndicales en donnant de la voix sont dans leurs droits. En interrogeant l’histoire cependant on peut aussi se rendre compte que les premiers et principaux pourfendeurs de la révolution d’août 1983 ont été les syndicats, la suite on la connaît.
Beaucoup de ceux qui adulent Sankara aujourd’hui l’ont farouchement combattu hier. Puisque l’histoire semble se répéter, il est tout à fait opportun d’appeler tous ceux qui aiment le Burkina à veiller à ce que les manipulateurs d’où qu’ils viennent et de quelques bords qu’ils soient n’embrasent pas notre pays. Merci M. Traoré