Burkina / Cyclisme : Pas d’équipes, ni d’entreprises françaises au Tour du Faso 2023
17 octobre 2023, 14:34, par
Sabadokan
Camarades peuples d’Afrique, chers compatriotes, la tenue de cette compétition malgré le contexte difficile démontre une fois de plus la capacité de resiliance des Burkinabè et la fidélité des pays amis. Camarades peuples d’Afrique, peuple du Burkina Faso, voyez le comportement de la France toute entière, je dis bien la France toute entière vis à vis de cet événement. Si aucune équipe, aucune entreprise Française ne vient à cette manifestation sportive, ça voudra dire que c’est la France toute entière qui nous boycotte, population comme Politiques. Partant de là, le peuple Français à fait bloc derrière son gouvernement. De ce point de vue, on comprend dès lors qu’il n’y a pas de dichotomie entre la politique Française et les Français. Ceux ci ont unanimement manifester leur sentiment anti-burkinabe. Ce que je veux dire, c’est qu’on doit cesser de dire : "on est pas anti français. Si eux ils sont ainti-Burkinabé, pourquoi aurons nous peur d’accepter qu’on est anti- Français ? S’il y avait des Français qui nous aimaient, ils allaient participer, ne serait -qu’avec leurs entreprises basées chez nous. Ce n’est pas le cas, donc réciprocité.
Camarades peuples d’Afrique, chers compatriotes, la tenue de cette compétition malgré le contexte difficile démontre une fois de plus la capacité de resiliance des Burkinabè et la fidélité des pays amis. Camarades peuples d’Afrique, peuple du Burkina Faso, voyez le comportement de la France toute entière, je dis bien la France toute entière vis à vis de cet événement. Si aucune équipe, aucune entreprise Française ne vient à cette manifestation sportive, ça voudra dire que c’est la France toute entière qui nous boycotte, population comme Politiques. Partant de là, le peuple Français à fait bloc derrière son gouvernement. De ce point de vue, on comprend dès lors qu’il n’y a pas de dichotomie entre la politique Française et les Français. Ceux ci ont unanimement manifester leur sentiment anti-burkinabe. Ce que je veux dire, c’est qu’on doit cesser de dire : "on est pas anti français. Si eux ils sont ainti-Burkinabé, pourquoi aurons nous peur d’accepter qu’on est anti- Français ? S’il y avait des Français qui nous aimaient, ils allaient participer, ne serait -qu’avec leurs entreprises basées chez nous. Ce n’est pas le cas, donc réciprocité.