Lutte contre l’immigration en Tunisie : Le président Kaïs Saïed refuse la "charité" de l’Union Européenne

Bonjour pfff,
Ben, on est bien obligé de supposer que ça coute moins cher que l’immigration illégale sub-saharienne, du Portugal, jusqu’en Estonie... ou même au Danemark, même si certains sont moins encombrés que d’autres.
Force est de reconnaitre qu’en France, ça frise l’obsessionnel, avec une tendance forte à associer un peu trop systématiquement criminalité et immigration, même si je ne peux nier que le phénomène existe et découle d’une certaine logique.
Casser le mythe occidental auprès de nos jeunes populations, permettre à chacun d’entrevoir un avenir dans son propre pays, relève aujourd’hui de la gageure, et l’avenir ne peut s’envisager sans appréhension, ni chez vous, ni ici.