Construction de l’usine de transformation de tomate à Bobo-Dioulasso : Une initiative saluée par la population

@m.Houille
Bien cher m.Houille, je suis moins pessimiste que vous sur les capacités burkinabè.
Je me moque souvent de vos pires excités, mais je reste persuadé qu’il y a de grandes compétences chez les entrepreneurs privés, burkinabè ou autres.
Je rejoins mon compatriote à la langue pointue et moyenâgeuse, je pense que l’état burkinabè doit faire confiance aux industriels privés, comme le fait la Côte-d’Ivoire avec succès, comme beaucoup de pays anglophones.
Pourquoi pas un industriel burkinabè, ghanéen, italien, turc ou tunisien, ou une collaboration entre de tels industriels privés nationaux ou internationaux ?
On sait faire du concentré de tomate au Maghreb et en Italie mais pas du concentré étatique de tomates...
L’État doit en premier se concentrer sur le régalien : police, justice, armée, diplomatie. Mais quand l’État se mêle de production, « ça grand problème là-même, yèèè ! »...
Sauf à la rigueur pour l’Armement et la recherche.