Construction de l’usine de transformation de tomate à Bobo-Dioulasso : Une initiative saluée par la population
26 septembre 2023, 22:27, par
Renault HÉLIE
@ thierry LAFON
Messire thierry LAFON, on en reparlera dans 5 ou 10 ans, d’ici 3 ou 4 coups d’état.
1) Subventions
Déjà, ces beaux messieurs administrateurs d’état vont exiger des subventions dans peu de temps, juste pour ne pas fermer boutique. Disons de 1 à 3 ans, avant 2026.
Bien entendu, ils sauront choisir de belles secrétaires aux dents blanches merveilleusement alignées, ça ne manquera jamais au BF, et ne se contenteront pas d’une pétrolette pour circuler en ville, dignité oblige.
2) Emprunts
Ensuite, ce ne sera plus possible, et ils emprunteront pour pouvoir continuer.
Disons vers 2025-2027.
3) Troisième phase, disons vers 2026-2010 Ou bien l’usine est vendue à un privé (Bonkoungou ? Kanazoe ? Chinois ? Turc ? Moldo-valaque de l’Oural ?) pour un plat de mil-gombo-poulet, et ce privé se montre efficace.
Ou bien l’usine est ferraillée, et devient une pâture pour chèvres et cabris destinés au Tabaski suivant.
Bien entendu que de belles entreprises peuvent réussir au BF, mais à condition qu’elles aient un véritable propriétaire, compétent et responsable ; et ça, c’est pas possible fonctionnaire là-même présentement.
@ thierry LAFON
Messire thierry LAFON, on en reparlera dans 5 ou 10 ans, d’ici 3 ou 4 coups d’état.
1) Subventions
Déjà, ces beaux messieurs administrateurs d’état vont exiger des subventions dans peu de temps, juste pour ne pas fermer boutique. Disons de 1 à 3 ans, avant 2026.
Bien entendu, ils sauront choisir de belles secrétaires aux dents blanches merveilleusement alignées, ça ne manquera jamais au BF, et ne se contenteront pas d’une pétrolette pour circuler en ville, dignité oblige.
2) Emprunts
Ensuite, ce ne sera plus possible, et ils emprunteront pour pouvoir continuer.
Disons vers 2025-2027.
3) Troisième phase, disons vers 2026-2010
Ou bien l’usine est vendue à un privé (Bonkoungou ? Kanazoe ? Chinois ? Turc ? Moldo-valaque de l’Oural ?) pour un plat de mil-gombo-poulet, et ce privé se montre efficace.
Ou bien l’usine est ferraillée, et devient une pâture pour chèvres et cabris destinés au Tabaski suivant.
Bien entendu que de belles entreprises peuvent réussir au BF, mais à condition qu’elles aient un véritable propriétaire, compétent et responsable ; et ça, c’est pas possible fonctionnaire là-même présentement.